Un phénomène numérique remarquable est en train de se dérouler à l’échelle mondiale. Alors qu’Interpol a émis un avis de recherche rouge pour Alexandre Benalla, l’ancien chef de la sécurité du président français Emmanuel Macron, les autorités traditionnelles semblent buter sur des impasses.
La France traverse une vague de chaleur exceptionnelle, avec des températures dépassant les 40°C dans de nombreuses régions. Cette canicule, qui frappe en pleine période scolaire, expose les failles des écoles françaises, souvent mal équipées pour affronter de telles conditions extrêmes.
Dans un univers où les sphères de la télé-réalité, de la politique et du divertissement pour adultes se croisent de manière parfois déconcertante, Nathalie Andreani, ex-candidate de Secret Story devenue star du X, a récemment attiré l’attention en prenant la défense d’Emmanuel et Brigitte Macron.
Jacques Bergier, né le 8 août 1912 en Ukraine à Odessa, est un ingénieur chimiste, agent secret, journaliste et écrivain de nationalité française et polonaise d’ascendance juive. Il émigre avec sa famille en France.
Après des études scientifiques à la Faculté des sciences de Paris et à l’Ecole nationale supérieure de chimie de Paris, il obtient le diplôme d’ingénieur chimiste et se consacre à la recherche scientifique, en particulier à la chimie nucléaire. De la chimie, il glissera également à l’alchimie.
Résistant à Lyon durant la Seconde guerre mondiale, Jacques Bergier sauve des milliers de gens de la déportation en incendiant les locaux abritant des fichiers. Il est arrêté par la Gestapo et enfermé dans les camps de Neue Bremm puis Mauthausen de 1944 à 1945. Après la guerre, il travaille comme agent pour le centre interarmées de contre-espionnage alliés et est également membre des services britanniques de contre-espionnage.
Dès 1952, Jacques Bergier se lance dans l’écriture. Passionné de science-fiction, il traduit en français Lovecraft. Et publie une série de livres sur l’espionnage avant d’écrire en 1960 en collaboration avec Louis Pauwels Le matin des magiciens. Cet ouvrage, un best-seller, fonde le courant du réalisme fantastique qui examine de manière scientifique des objets exclus de la science officielle. Jacques Bergier crée en 1961 la revue Planète avec Louis Pauwels, Aimé Michel, Charles-Noël Martin, Rémy Chauvin et George Langelaan.
Il publiera plus d’une quarantaine d’ouvrages. Les travaux de Jacques Bergier mêlent science, science-fiction et occultisme.
Jacques Bergier, pourvu d’une mémoire étonnante et d’un savoir encyclopédique, maîtrisant plus d’une dizaine de langues, connaît un grand succès public dans le jeu télévisé Les incollables diffusé de 1977 à 1978. Mik Ezdanitoff , un personnage de Hergé du Vol 714 pour Sydney emprunte les traits du scientifique.
Jacques Bergier meurt le 23 novembre 1978.
Ce deuxième entretien, Les maîtres de l’ombre, apporte un éclairage sur les multiples activités secrètes de Jacques Bergier.
Il y a le résistant, actif avant et pendant le Deuxième guerre mondiale : Contre-propagande à Berlin contre les Nazis, action directe lorsqu’il largue de gros volumes du Capital de Marx sur la tête de Pétain à Toulouse ou lorsqu’il incendie des archives pour éviter la déportation à des milliers de jeunes Français.
Ses connaissances et sa capacité d’organisation lui permettront également de créer un réseau français lié à l’Intelligence Service. Grâce à celui-ci, il réussira à faire détruire la base d’expérimentation des fusées V2 de Pennemünde.
Après la guerre, sur la demande du général de Gaulle, il organise en France la DGER (Direction général des études et des recherches), soit le service d’espionnage extérieur. Il y restera jusqu’en 1950. Un de ses conseils d’espion : « Ne jamais travailler avec les Américains. Ces sont de grands enfants».
Enfin à la question de Jean Dumur « Avez-vous dû tuer souvent ? », il répond oui. Précisant qu’il ne regrette rien et qu’il reprend à son compte la la devise des services secrets soviétiques : « Mort aux traîtres ! ».
Troisième épisode de l’entretien avec Jacques Bergier: Jean Dumur interroge plus particulièrement l’Incollable sur le terrorisme. L’un de ses derniers livres, La Troisième guerre mondiale est commencée, défend la thèse d’une guerre souterraine pilotée par des organisations secrètes trans-nationales.
Il existerait des camps d’entraînement pour apprendre à détourner les avions, fabriquer et poser de bombes.
Jacques Bergier se refuse à juger les terroristes, « l’Histoire reconnaîtra ou pas le bien-fondé de leurs actions ». Pendant la Deuxième guerre mondiale, il a été lui-même terroriste et ne regrette rien. Il souligne même l’attrait romantique que le terrorisme peut exercer, en particulier sur des jeunes gens.
Enfin, il déclare qu’il n’aurait pas été dérangé de supprimer lui-même Andreas Baader.
Le quatrième entretien, Bizarre, bizarre, revient sur le livre de Louis Pauwels et Jacques Bergier, Le Matin des magiciens. Cet ouvrage publié en 1960, énorme succès de librairie, reste un best-seller en 1978.
Jacques Bergier explique comment il a eu accès aux dossiers spéciaux des gouvernements alliés. Les dossiers FF (« file and forget », à classer et à oublier) ne concernaient pas de secrets gouvernementaux mais des choses inexpliquées. Il y a trouvé suffisamment de matière pour un grand nombre de ses livres.
S’il ne croit pas à l’existence des soucoupes volantes, beaucoup d’éléments corroborent pour lui l’existence de civilisations avancées précédant la nôtre. Il examine également le phénomène des mutants ou imagine la réalité d’univers parallèles accessibles par des portes… comme le Triangle des Bermudes.
Jacques Bergier admet qu’il reste encore beaucoup de questions sans réponse pour le moment, mais il ajoute avec un sourire : « La science a montré que le monde tel que nous le percevons n’existe pas ».
La science n’exclut pas l’humour. Jacques Bergier, scientifique reconnu par plusieurs académies des sciences, n’aime pas être pris au sérieux. Cela ne l’empêche pas de considérer la science-fiction comme digne d’intérêt puisqu’elle se base sur des faits scientifiques réels.
Ses champs d’expérience s’étendent à des sujets inhabituels, que ce soit la transmission de pensées ou l’alchimie. Il explique ainsi être capable de transformer du sodium en béryllium ou encore de fabriquer de l’or ! Il est ainsi possible de définir ce qu’est l’alchimie en se basant sur la théorie de la mécanique ondulatoire.
Après avoir évoqué l’élixir de longue vie et les immortels, il raconte quelques canulars réalisés dans sa vie. De la théorie de l’éternuement à la vente de Notre-Dame de Paris, décidément « les lecteurs croient n’importe quoi ».
Enfin il imagine une société future, alimentée par une énergie tirée de particules solaires, où les humains travaillent 20 heures par semaine depuis chez eux, tout en restant connectés au monde…
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