Vous vous souvenez du piratage par des hackeurs de l’Agence européenne du médicament ? Les hackers étaient parvenus à dérober des documents concernant, entre autres, plusieurs vaccins contre le Covid-19.
Ces informations ont été publiées sur plusieurs forums. Mais comme l’Occident était en état de choc, personne ne s’en souvient, à part les médias gouvernementaux français qui avaient dû désamorcer en urgence ce hack, qui montrait clairement qu’ils étaient tous des criminels.
Et pour s’en sortir, ils ont dit pendant un mois en boucle que les pirates auraient volontairement ajouté de fausses modifications sur ces documents. Et puis, c’est passé comme une lettre à la poste, puisque les citoyens devaient s’autosigner des papiers pour sortir leur chien dans la rue ou devaient fuir la police en courant, qui les coursait sur des plages dynamiques.
Évidemment, il n’en était rien. Tout était vrai. Certains des fichiers piratés refont surface sur un forum du dark web, dans une publication intitulée comme en 2021 : « Fraude stupéfiante ! Pfffizer est malfaisant ! Les vaccins sont faux ! »
Les informations dévoilées sont évidemment toutes liées au vaccin BNT162b2, co-développé par Pfizer et BioNTech. Pour ne pas se faire guillotiner sur la place publique, l’Agence européenne du médicament a trouvé une parade, disant que les hackers ont sciemment modifié les échanges de mails internes pour alimenter la méfiance contre ces vaccins.
Avec les milliers d’effets secondaires, ce sujet en plus de ressortir ne fait que commencer et les responsables de l’Agence européenne du médicament sont terrorisés de la tornade qui arrive, puisqu’ils ont dû mentir à des millions de citoyens. Leur facture cosmique va être terrible. Et la première douloureuse arrive maintenant.