« Le groupe extraordinaire de participants était composé de 10 ministres de la santé actuels et anciens et de hauts responsables de la santé publique du Sénégal, du Rwanda, du Nigéria, de l’Angola, du Libéria, de Singapour, de l’Inde, de l’Allemagne, ainsi que de Bill Gates, président adjoint de la Bill & Melinda Gates Fondation.
L’exercice a simulé une série de réunions du conseil consultatif de santé d’urgence de l’OMS traitant d’une pandémie fictive qui se déroulera dans un avenir proche.
Les participants se sont demandé comment répondre à une épidémie située dans une partie du monde qui s’est ensuite propagée rapidement, devenant une pandémie avec un taux de mortalité plus élevé que le COVID-19 et affectant de manière disproportionnée les enfants et les jeunes.»
Dans une ambiance lugubre et angoissante, les intervenants se montrent très à l’aise dans leur rôle qui consistera à propager la peur auprès des populations. Face à la baisse de confiance envers les scientifiques, la nécessité d’utiliser des leaders religieux et politiques comme porte-voix est évoquée.
On note aussi le mantra ressassé lors du covid, qui a été recyclé pour l’occasion : « Personne n’est en sécurité jusqu’à ce que nous le soyons tous », comme prétexte qui justifierait l’abolition de toutes les libertés, y compris celle de disposer de son corps.
La journaliste mainstream Jeanne Meserve, parfaitement rôdée au rôle de propagandiste, énonce quant à elle avec délectation le décès de millions d’enfants d’un prétendu virus.
Ces derniers seront attribués à une absence de « préparation » – ce qui signifie dans leur langage que tous les pays doivent mettre en place des brigades pseudo-sanitaires et des plans de restrictions drastiques comme ce que l’on a pu observer en Chine…