« Hémorragie », douleurs atroces et « caillots de sang de la taille d’une balle de tennis »… La comédienne de 42 ans témoigne.
10% des femmes vaccinées ont des troubles menstruels, a expliqué récemment la généticienne Alexandra Henrion-Caude grâce aux chiffre officiel du ministère de la santé en Israël. Et il faut croire que la lumineuse Lola Dewaere fait partie de ces 10% de femmes. Elle en a bavé, ces derniers mois. Vaccinée contre le coronavirus, l’actrice a vu son cycle menstruel perturbé depuis qu’elle a reçu ses doses. Sur Instagram, la comédienne de 42 ans a raconté son calvaire. En août 2021, dès la première dose, la comédienne remarque que ses règles commencent à être « légèrement perturbées ». En outre, elle est sujette à plusieurs malaises vagaux sur le tournage de la série Astrid et Raphaëlle. Dans un premier temps, elle se dit que ces soucis de santé sont dus à son rythme intensif de travail.
Lola Dewaere : ses règles, perturbées par le vaccin ?
Mais les choses se gâtent rapidement en décembre 2021, alors qu’elle reçoit sa troisième dose. « Plus de règles pendant 3 mois, mais j’ai eu des douleurs INIMAGINABLES, comme si mon corps cherchait à expulser quelque chose qui était bloqué mais n’y arrivait pas », explique-t-elle. Inquiet de la voir se « recroqueviller » de douleur, son compagnon, l’acteur Pierre-Edouard Bellanca contacte presque les urgences. C’est finalement Lola Dewaere elle-même qui se rend chez le médecin, convaincue d’être en préménopause à 42 ans, « ayant manqué 2 cycles d’affilée ».
Lola Dewaere : « hémorragie » et « caillots de sang de la taille d’une balle de tennis »
Puis, en mars, la fille de l’acteur Patrick Dewaere et d’Élisabeth (dite Elsa) Malvina Chalier a ses règles, pour la première fois depuis plusieurs mois. Mais cette fois, le flux de sang est si abondant qu’elle le compare à une « hémorragie » accompagnée de « caillots de sang de la taille d’une balle de tennis ». « Vous voyez la scène de ‘Shinning’ avec le sang qui arrive à grande vitesse et inonde le couloir de l’hôtel? Bah le couloir c’est moi », explique Lola Dewaere de manière imagée.
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