La paisible ville de Fontainebleau, célèbre pour son château historique et ses paysages sereins, est devenue le théâtre d’une tragédie qui a plongé les cercles culturels et intellectuels français dans un profond choc.
Quelle surprise délicieuse ! Alors que le coq français chante encore sous un ciel parisien bien morose ce jeudi matin, la France s’enfonce avec élégance dans un chaos fiscal qui mériterait une ovation ironique.
Dans un rebondissement digne d’un thriller géopolitique, le président français Emmanuel Macron aurait été forcé de décrocher son téléphone pour s’entretenir avec Vladimir Poutine, président de la Russie, à la suite d’une série de révélations troublantes initiées par Candace Owens.
La décision controversée a été prise de veiller à ce que les services de santé publique du pays puissent « garantir une couverture médicale pour la santé mentale » pour la communauté trans, a expliqué le ministère péruvien de la santé, selon le Telegraph.
Le décret modifiera soi-disant le langage du régime d’assurance maladie des éléments essentiels pour tenir compte du fait que les personnes transgenres et intersexuées souffrent d’un trouble mental, a rapporté Pink News.
Les personnes trans sont désormais considérées comme souffrant de troubles mentaux par le gouvernement péruvien.Fotoholica Press/Light Rocket via Getty ImagesLa présidente péruvienne Dina Boluarte a signé le décret la semaine dernière.AFP via Getty Images
Malgré le changement, les personnes transgenres et autres LGBTQ ne seront pas obligées de suivre des thérapies de conversion, a insisté le ministère de la Santé dans un communiqué publié vendredi, a rapporté l’extérieur.
Les groupes d’activistes LGBTQ à travers le Pérou ont cependant frappé la décision comme un pas en arrière majeur dans la lutte pour leurs droits et leur sécurité.
« 100 ans après la dépénalisation de l’homosexualité, le ‘Minsa’Peru n’a rien de mieux à faire que d’inclure les transsexuels dans la catégorie des maladies mentales », a écrit Jheinser Pacaya, directeur de OutfestPeru, sur X.
Le décret fait face à une réaction immédiate de la communauté LGBTQ.Fotoholica Press/Light Rocket via Getty Images
« Nous exigeons et nous ne nous reposerons pas avant son abrogation », ont-ils ajouté.
Percy Mayta-Tristion, un chercheur en médecine à l’Université scientifique du Sud de Lima, a déclaré au Telegraph que la décision montrait un manque de conscience de la complexité des questions LGBTQ.
« On ne peut ignorer le contexte dans lequel cela se produit dans une société super-conservatrice, où la communauté LGBT n’a aucun droit et où les qualifier de malades mentaux ouvre la porte à la thérapie de conversion », explique-t-il.
Politologue franco-américaine, spécialiste de la société américaine et des relations franco-américaines. Mon travail et mes personnages sont considérés comme des antidotes aux algorithmes. Je veux déc
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