Il s’agit ni plus ni moins d’un livre d’initiation au satanisme et à la pédophilie. Publiée en 1967 à 500 exemplaires numérotés, signée Yves Saint-Laurent et rééditée en 2002 et 2003.
D’après l’éditeur, la vilaine Lu est « une petite fille espiègle » portant un regard drôle et curieux sur le monde . le « style est naïf, presque enfantin », « l’ensemble est mordant et drôle »…
Jugez plutôt du contenu :
– la vilaine Lulu harcèle la mère d’un bébé et l’amène à abandonner son nourrisson devant l’Armée du salut…
– Lulu tombe amoureuse. Elle va donc naturellement pratiquer des sacrifices humains pour obtenir l’être aimé…
– Pour se débarrasser de sa rivale, elle l’attache sur un lit et déclenche un incendie
– Par ironie probablement qu’elle enlève des enfants et qu’elle les pend… et qu’elle utilise leurs cheveux pour faire des coussins.
– Lorsque Lulu ouvre un restaurant, il est appelé « Lulu la cathare ». Elle y met une cliente en cage et annonce son intention d’en faire une martyre catholique (YSL explique sa source d’inspiration spirituelle : le catharisme)
– Elle pratique d’étranges jeux avec ses amies, qui ne semblent pas d’accord. Elle les piétine en compagnie d’adultes musclés
– Elle reçoit les encouragements du ministère de l’Education nationale pour ses activités.
– Elle utilise le pouvoir de la télévision pour conquérir le monde, soumettre les masses et les transformer à son image
– Lulu infiltre l’église catholique… pour devenir cardinale et empoisonner le pape puis devenir pape elle-même
– Lulu devient également infirmière pour empoisonner les bébés et euthanasier les malades qui supplient « Rien qu’un petit jour de plus ».
– Elle rôde près des écoles avec un adulte pour repérer des victimes à tuer. Elle les prépare à l’esclavage sexuel et les envoyer de par le monde (image d’une caisse « Liban »)… des petites filles disparaissent « elles ne sont pas perdues pour tout le monde » ricane un vieux pépère avec sa canne.
Histoire symbolique d’une enfant initiée au luciférianisme, qui fait l’apologie de la pédophilie, du satanisme, de la pornographie infantile, du rapt des enfants, des sacrifices humains…
L’année de la réédition 34 305 disparitions de mineurs étaient enregistrées.
Aucune poursuite n’a été initiée contre ce livre de la part du Parquet, aucun ministre de la justice ne s’est manifesté, aucun média de masse n’en a fait écho ! Aucune association de protection de l’enfance n’a réagi.
Très peu de journalistes ont osé en parler vraiment, un seul reportage a eu lieu au sujet de ce livre signé par Alain Escala. Voici ce qu’il en dit : « Yves Saint Laurent était à ses heures perdues, non pas seulement quelqu’un qui dessinait des robes ou des tailleurs mais quelqu’un qui dessinait des abominations sadiques sur des enfants dans des pratiques de magie noire. Cela a fait l’objet d’une bande dessinée publiée aux frais de Yves Saint Laurent : la vilaine Lulu. Or, dans cette BD, YSL dessine des meurtres d’enfants, des découpages d’enfants, dans des cadres de messes noires avec préalablement pédocriminalité et à la fin de la BD, en lettres rouge sang YSL termine par « toute ressemblance avec des personnes qui existent ou qui ont existé est parfaitement voulue. Toutes ces aventures ont été tirées de faits réels »