«Il y a des gens qui veulent que je meure et qui m’embêtent à me faire vacciner. C’est mon problème, c’est ma vie». Taquin, Bolsonaro a même fait l’éloge de la dictature militaire (1964-1985) au Brésil, dans un tacle aux «démocraties» covidistes: «Tout le monde avait le droit d’aller et venir, d’étudier, de travailler».
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Victime d’un malaise, Bolsonaro a été hospitalisé lundi soir pour réaliser des examens. Depuis l’attentat à l’arme blanche dont il a été victime en 2018, en pleine campagne électorale, Bolsonaro a souffert d’une succession d’alertes abdominales.
Alors que Bolsonaro est dans le collimateur de l’Occident (il a déclaré en parallèle que « le vaccin peut déclencher le sida ») il se présentera aux suffrages des Brésiliens en octobre 2022.
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