Il m’est très souvent arrivé, depuis bientôt deux ans, de me promener en ville, à la campagne ou sur la côte avec le sentiment d’être dans un mauvais film d’anticipation ou dans un asile de fous : attestations de sortie, confinements et couvre-feux, gens qui se baladent masqués en rue, dans leur voiture ou sur les chemins, promeneurs chassés des plages par la milice en hélicoptère, obligations de port du masque sur des digues en plein vent mais pas sur la plage, voyageurs qui obéissent sans broncher à des pervers narcissiques qui leur dictent dans quelle position ils peuvent boire leur café.
Et puis, des gens qui se font vacciner à multiples doses tel un vulgaire bétail, se soumettant à chaque fois pour avoir droit à leur picotin, leur « liberté » représentée par un QR code, et qui finissent par me considérer, moi et les gens comme moi, comme un ennemi encore pire que le virus.
Je regarde, horrifié, ces gens qui acceptent d’imposer une torture émotionnelle à leurs ainés, en s’interdisant de les voir ou en les reléguant à la cuisine avec un morceau de bûche, qui acceptent de traumatiser des enfants en les obligeant à se masquer toute la journée et en les accusant du possible meurtre de leurs grands-parents. Je vois ces gens, que j’ai connu « normaux », demander à leurs voisins ou clients un Ausweis pour pouvoir prendre un café ou voir un film.
Je vois ces crétins en uniforme de la Gestapass obéissant aux ordres débiles de leurs supérieurs préfectoraux. Comme dans un mauvais remake de film en France occupée, je vois ces agents de la SS (Sécurité Sanitaire) monter une garde armée à l’entrée des restaurants pendant que leurs acolytes vérifient les papiers des consommateurs. Je les vois qui contrôlent d’un air sévère les pass sanitaires des visiteurs du marché de Noël, et je vois des visiteurs du marché de Noël fiers d’être scannés, fiers d’appartenir à la race bovine supérieure.
Je me suis parfois demandé, très sérieusement, « mais n’est-ce pas moi, le fou ? » Cependant je voyais bien que, même si je faisais partie d’une minorité, la plupart des autres associés à cette minorité n’étaient de toute évidence pas fous, et les raisons qui nous faisaient penser que les fous étaient bien les autres, étaient solidement ancrées dans le bon sens comme dans la rationalité scientifique.
Une explication raisonnable.
Je le sais car j’ai passé du temps, beaucoup de temps à chercher à comprendre pourquoi il se passe ce qu’il se passe, et comment il est possible que tant de gens s’y soumettent. J’ai écris plus de 120 articles sur ce blog pour documenter la situation et l’état de mes questionnements, et ce n’est que maintenant que je pense avoir trouvé une forme d’explication raisonnable.
Rien de révolutionnaire, juste le liant permettant de faire tenir ensemble les divers éléments de la dynamique de transformation d’une société post-moderne, avec encore un pied dans l’Histoire du XXe siècle et sa lutte pour la liberté individuelle et la démocratie face aux idéologies totalisantes (religions, nazisme, stalinisme…), en une société technocratique totalitaire où les leviers du pouvoir, de tous les pouvoirs, se situent dans un
« cloud » de vastes intérêts supranationaux ayant pris le contrôle des États via l’achat pur et simple de leurs élites dirigeantes, de leurs hauts fonctionnaires, et de leurs organismes de régulation.
Là encore, rien de nouveau en soi. Il suffit de connaitre le parcours des gens comme Emmanuel Macron, le président sans doute le plus pervers et corrompu de l’Histoire de France qui prend plaisir à « emmerder les Français » qui ne se soumettent pas à sa volonté, pour comprendre qui tire les ficelles. La France n’est évidemment pas la seule dans cette situation, c’est un phénomène mondial et en 2008 déjà, sous G.W. Bush, un économiste américain publiait un livre intitulé « L’Etat prédateur » (1) sur comment la haute administration US et ses organes de régulation étaient passés aux mains des entreprises qu’ils étaient censés contrôler.
La mise sous tutelle des institutions étatiques par des intérêts autres que ceux de la population est devenue la norme, mais cette dérive vient au départ de ce que Ivan Illich nommait l’iatrogénèse (2), ou la tendance d’une institution à dépasser son seuil d’utilité publique dans la recherche de la maximisation de ses propres pouvoirs et privilèges. On le voit de manière caricaturale dans le secteur médical, spécialement étudié par Illich, où les intérêts commerciaux des firmes pharmaceutiques s’associent aux intérêts particuliers du pouvoir technocratique, pour en arriver à une
« gestion » des services médicaux, des hôpitaux, et du principe même de soin totalement débile et dangereuse pour le public, mais rentable pour ces intérêts supérieurs.
À cette corruption technocratique naturelle s’ajoute, depuis vingt ans, la montée en puissance de la Big Tech et du Big Data, ces énormes entreprises comme Google ou Facebook (désormais Meta) dont le modèle économique est fondé sur la vente de produits de prédiction des comportements, modèle généralement appelé « Capitalisme de surveillance » (3). Ces connaissances sont acquises via la surveillance et l’analyse permanente des comportements de leurs usagers (nous), ce qui permet de développer des modèles prédictifs qui sont vendus aux États, aux grandes entreprises, aux polices, aux partis politiques qui les utilisent pour développer, ensuite, des stratégies de manipulation très ciblées et performantes.
Ces grandes entreprises sont immensément riches et font partie d’un écosystème supranational, où l’on retrouve tous les Big quelque chose et leurs réseaux associés, et qui placent leurs pions via le lobbying et la corruption au sein des institutions politiques nationales et supranationales. Tout se passe là, et la majorité de la population humaine n’est pour eux qu’une ressource à exploiter (par le travail et la consommation) ou un bétail à gérer.
Rien de tout cela, donc, n’est vraiment nouveau, et même si cette évolution conjointe du grand capital et de la haute technologie nous mène vers un totalitarisme technocratique et technologique de fait, à elle seule elle ne permet pas d’expliquer la facilité avec laquelle une partie conséquente de la population mondiale, et surtout dans nos pays occidentaux a priori dotés « d’anticorps » face aux régimes autoritaires depuis les « infections » du XXe siècle, a succombé sans résister à un narratif débilo-hystérique qui, non seulement, se poursuit depuis bientôt deux ans, mais se transforme en plus en véritable logique nazie où des thérapies géniques tiennent lieu de certificat de bon Aryen, et où ceux et celles qui refusent ces traitements se retrouvent à devoir endosser le rôle des sous-humains de l’époque.
Si, encore, ces thérapies géniques étaient des vrais vaccins capables d’empêcher la contamination et la transmission du virus, on pourrait comprendre que l’État exerce une forme de pression, mais il n’en est rien et ils se limitent à protéger les gens des formes graves, donc les gens à risques dont le profil est aujourd’hui bien connu. Ces produits ne devraient donc ne servir qu’à cela, et comme le Sars-coV-2 est un virus planétaire il faudrait d’abord et avant tout vacciner tous les gens à risques, et ensuite se poser la question de l’immunité générale.
Le fait que ce soit précisément le contraire qui se passe, à tel point que même l’OMS dit que c’est du grand n’importe quoi, justifie un rejet massif de cette imposition vaccinale de fait, et a fortiori lorsqu’elle s’en prend aux enfants. Le débat culpabilisateur sur la saturation des hôpitaux, lui, n’est qu’un cache-sexe de la gestion délétère par l’État du système hospitalier depuis quinze ans, système saturé chaque année avec ou sans Covid, et se soumettre à une thérapie génique juste pour permettre à des gens comme Castex de dire « vous voyez, tout va bien, on gère » est évidemment hors de question. Qu’il patauge dans la merde qu’il a lui-même créée, et que les gens directement concernés se révoltent enfin.
Pour Arnaud Chiche, réanimateur à Hénin-Beaumont et fondateur du collectif Santé en danger, la sortie du Président de la République est clivante et éloigne du vrai débat. « Les chiffres sont têtus, oui ce sont des non-vaccinés qui occupent principalement les lits de réanimation. Mais les stigmatiser, c’est un peu comme allumer un contre-feu. Car en dehors des vagues de Covid-19, les hôpitaux sont en situation quasi chronique de déprogrammation chirurgicale par manque d’effectifs médicaux et paramédicaux. On est tous unanimes sur le cynisme des mots d’Emmanuel Macron, mais son plus grand cynisme, c’est de ne pas annoncer un grand plan pour la santé »
Théorie de la formation psychotique des masses.
Donc la question de fond : comment des gens, beaucoup de gens a priori normaux, éduqués et intelligents, peuvent-ils succomber à un tel narratif (4), obéir à de telles injonctions, et ne pas voir à quel point tout ceci est absurde, ruineux, et dangereux ? Quel est ce liant qui permet de faire basculer autant de monde dans l’acceptation d’un tel régime totalitaire face à ce qui reste un virus donnant, la plupart du temps, une forme de grippe et dont il est désormais possible de protéger les gens les plus sensibles ?
C’est en écrivant un article sur le « complotiste » Robert Malone que je suis tombé sur la théorie dite de mass formation ou mass psychosis en anglais, que l’on peut sans doute traduire par « formation psychotique des masses », et définie comme étant un processus similaire à l’hypnose où un élément concret (ici, le Covid), doublé d’un narratif omniprésent permettant de focaliser toutes les attentions sur cet élément concret, engendre au sein d’une partie conséquente de la population un effet d’hypnose de masse.
Cette théorie est formulée par un psychologue et statisticien belge, professeur à l’Université de Gand en Belgique, le Dr Mattias Desmet. Pour les anglophones le mieux est sans doute d’écouter l’entretien qu’il a donné, début décembre, sur la chaîne Peak Prosperity ci-dessous.
Le principe de cette « formation psychotique des masses » repose sur l’existence de conditions sociales et psychologiques au sein de la population concernée. Selon Desmet, ces conditions sont :
Le manque de liens sociaux (social bonds) et de connexions entre les gens. La solitude subie, l’isolement, sont les symptômes d’un déficit de lien social largement analysé par les sociologues. Le remplacement du lien physique par les pseudo-liens des réseaux sociaux en sont un exemple classique, mais cette condition affecte tout autant des gens isolés géographiquement, culturellement ou économiquement avec ou sans Internet.
Le manque de sens, dans la vie privée comme professionnelle. Quelques 40% des travailleurs considèrent leurs emplois comme dénués de sens, selon David Graeber et son livre « Bullshit jobs » (5). La gestion technocratique de l’espace professionnel est un vaste destructeur de sens, tout comme la routine du « paraître » shootée à l’Instagram dans la vie privée.
L’existence d’un sentiment d’anxiété flottante, c’est-à-dire non rattachée à un élément précis face auquel il serait possible d’agir. Ce sentiment découle assez naturellement des deux premières conditions, mais se trouve renforcé par le climat anxiogène qui préexistait à la crise Covid. De manière générale, cela souligne une déconnexion entre l’univers mental, symbolique, et la réalité factuelle du monde. La consommation gigantesque d’anxiolytiques dans nos sociétés occidentales est sans doute une bonne mesure du niveau de cette anxiété.
L’existence d’un sentiment flottant de frustration et d’agressivité, issu de l’existence des trois premières conditions. Le sentiment existe, mais il n’a pas de cible sur laquelle s’exprimer.
Une fois ces conditions remplies, l’arrivée d’un événement anxiogène majeur associé à un narratif de combat (nous sommes en guerre), va focaliser toute cette anxiété flottante : l’adhésion au narratif va permettre de retrouver du sens et de canaliser l’anxiété, mais va surtout créer un sentiment d’appartenance, pour des gens qui en manquent, par l’appel constant à la solidarité et à la dénonciation des « non solidaires ». De fait, pendant les confinements la majorité des appels à la police concernaient des dénonciations de voisinage pour « abus d’attestation » genre « sort trop souvent son chien ».
La répétition quotidienne de chiffres alarmants, accompagnée de graphiques et d’un ton de circonstance, agissent comme les systèmes d’endoctrinement sectaires dont l’objectif est de créer un fort sentiment d’appartenance au groupe social.
Et là est la clé : la plupart des gens qui adhèrent et font vivre le narratif sont « normaux » en termes d’intelligence et se rendent compte, en général, de l’absurdité du narratif et des mesures qu’on leur impose, et qu’ils imposent à leur tour. Cependant, ils et elles les acceptent car cela consolide leur sentiment d’appartenance au camp du bien, leur solidarité avec ceux et celles qui font quelque chose face à l’objet matérialisant toute cette anxiété flottante.
Ce sentiment est encore renforcé par l’arrivée concomitante d’une cible pour notre quatrième condition initiale : ceux et celles qui n’adhèrent pas au narratif, ne collaborent pas ou pas assez à l’effort collectif, fusse-t-il de nature absurde, deviennent la cible de toute cette frustration et de toute cette agressivité rentrée. C’étaient les fraudeurs à l’attestation l’an dernier, c’est devenu les critiques de la politique vaccinale aujourd’hui, et le phénomène est total du fait que le Chef de l’État lui-même énonce sa haine envers le bouc émissaire de circonstance que représente le non vacciné.
Derrière l’hypnose de masse, l’idéologie techno-totalitaire.
L’entreprise de formation psychotique des masses est désormais complète. Le système déverse sa frustration par le biais de lois iniques applaudies par le camp du bien au nom de son conformisme, de sa haine de la différence et de son sentiment d’appartenance même s’il sait, au fond de lui, que c’est n’importe quoi, et que c’est même dangereux pour lui-même. En effet, les systèmes totalitaires sont dangereux pour leurs ennemis mais aussi pour leurs amis, comme en témoignent les nombreuses purges en leur sein documentées au fil de l’Histoire.
Il est évident que ceux et celles qui tirent les ficelles, ici les Macron & Cie, les hauts fonctionnaires et leurs mandataires, ne croient pas en leur narratif débile mais s’en servent au profit de l’imposition de leur idéologie. Dans leurs rangs par contre, il est probable que des gens comme Véran se trouvent sous une forme d’auto-hypnose, au sens où ils finissent par croire leur propre narratif, par s’hypnotiser eux-mêmes au son de leur propre voix.
Le pouvoir total accaparé par cette clique, via l’exercice de formation psychotique des masses, devient une arme de destruction massive. Tout comme pour les camps juifs, les goulags et autres centres d’extermination de la période maoïste, pour reprendre quelques exemples classiques de régimes totalitaires, il n’y a plus de limites aux exactions à l’encontre des présumés « ennemis » car plus personne ne s’y oppose, plus personne dans le « camp du bien » n’a la force de s’extraire de son sentiment d’appartenance, même s’il sait qu’un jour c’est chez lui que débarquera le peloton d’exécution.
On le voit dans le cirque hilarant des double-dosés, héros du premier jour, désormais menacés de relégation sociale s’ils ne font pas la troisième. On le constate de manière dramatique avec ces soignants, applaudis en héros l’an dernier lorsqu’ils allaient au combat avec des sacs poubelles, aujourd’hui stigmatisés et démis de leurs postes s’ils ne se soumettent pas au « vaccin », peu importe le dramatique manque de personnel soignants : il suffira d’accuser les non vaccinés.
Le monstre totalitaire dévore ses propres enfants. C’est la force de l’hypnose, qui permet par exemple de réaliser des opérations chirurgicales sans anesthésie : la concentration extrême de l’esprit annule l’expérience de la douleur.
L’idéologie servie par cette hypnose de masse est celle du totalitarisme technocratique facilité par l’omniprésence technologique. Le QR code est la prolongation naturelle du scoring initié par les plateformes numériques (6), dont le futur est déjà tout tracé par le système de crédit social chinois. Le narratif du Great Reset ne dit pas autre chose (7), même s’il le dit gentiment.
Les moyens de la lutte.
La question urgente, pour nous les « ennemis » mais aussi, au fond, pour les hypnotisés contre lesquels se retournera aussi, un jour, la violence du système, est de comment briser cette état d’hypnose générale.
Mattias Desmet n’est pas très optimiste sur la question. Selon lui, la partie de la population réellement sous hypnose, réellement façonnée par cette formation psychotique des masses, ne dépasse guère 30%. Ils bénéficient malheureusement de l’adhésion des suiveurs, de l’ordre de 50%-60% de la population, qui choisissent de se soumettre au narratif, sans y croire, afin de préserver leur mode de vie, leur « liberté », leurs relations sociales. C’est typiquement le cas des vaccinés par obligation (sous peine de perte de travail) ou de confort, ceux et celles qui le font uniquement pour continuer à aller au resto, au bar, au cinéma, pour voyager.
Reste un petit 10-20% de gens réfractaires à la formation psychotique, imperméables à l’hypnose de masse, et incapables d’accepter de se soumettre par « confort » car conscients que cela n’est qu’une illusion. Ceux-là regardent, les yeux écarquillés, la vie En Marche au sein de l’asile.
Ils crient « mais réveillez-vous ! » en rasant les murs à la recherche d’une porte de sortie, incapables de comprendre par quel mécanisme tant de gens se soumettent désormais à un tel niveau d’absurdité et de violence. J’en suis, mais je pense désormais comprendre que ce qui me semble absurde peut le leur sembler aussi, mais cela leur importe peu face au confort mental et social que confère le sentiment d’appartenir au camp du bien et d’avoir, enfin, un point focal pour leur anxiété et leurs frustrations.
Selon Desmet toujours, dont les travaux suivent dans les pas de ceux d’Hannah Arendt et de Claude Lefort (8), le combat est possible par l’appel constant à la rationalité, par l’appel à un point de vue neutre sur la situation, par la description des dangers pour eux-mêmes vers lesquels mène la logique totalitaire. Ceci pourrait permettre d’éroder l’effet d’hypnose au fil du temps. Il déconseille fortement l’usage de la violence car cela ne servirait qu’à justifier, en face, encore plus de violence.
La stratégie est donc assez claire : il nous faut nous organiser, localement, pour vivre avec le plus d’indépendance possible face à la tyrannie du « camp du bien », et travailler sans relâche à faire entrer des coins de lumière dans les esprits manipulés. Mais cela ne servira à rien si ces gens hypnotisés ou suiveurs qui fuient, quelque part, le vide émotionnel et la perte de sens, qui ne supportent plus de vivre dans une anxiété floue, se retrouvent comme avant.
L’accueil est donc un facteur clé, un véritable travail de fond afin de recréer un monde mentalement sain d’où une majorité ne cherchera plus à s’échapper vers les sphères nihilistes du techno-totalitarisme déguisées en lutte contre une épidémie de coronavirus.
Liens et sources :
(1) https://zerhubarbeblog.net/2010/05/16/letat-predateur/
(2) https://zerhubarbeblog.net/2020/09/18/ivan-illich-et-la-fin-de-lhumain-singulier/
(3) https://zerhubarbeblog.net/2020/01/20/nsa-gafam-et-le-capitalisme-de-surveillance/
(4) https://zerhubarbeblog.net/2021/12/26/debunker-le-narratif-covidien/
(6) https://zerhubarbeblog.net/2015/10/12/scoring-et-segregation-sociale/
(7) https://zerhubarbeblog.net/2020/12/04/de-quoi-the-great-reset-est-il-le-nom/
(8) https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Lefort
Entretien (en anglais) avec Mattias Desmet.
Vincent Verschoore (agoravox.fr)