Nissia Benghazi. Leslie Joy Morel. Sharon Hakim. Hélène Davo. Nadia Zaid. Marie-Hélène Ciatoni. Christian Sainte. Rémi Heitz. Gabriel, Fanny et Iris Attal. Emmanuel Macron. Soit trois femmes, une conseillère de l’Elysée, un ministre tout puissant et ses deux soeurs, une directrice de la police judiciaire, une juge d’instruction, un Procureur tout puissant… et un homme. Juan Branco.
Les mondes fonctionnent en pyramides. La mythologie grecque nous l’a mille fois rappelé. Avec une infinité de personnages secondaires et négligeables, de Marine Turchi à Elvire Duvelles en passant par Jean-Baptiste Gallopin et Clémence Civit, nous vous présentons ici l’histoire d’un kompromat à l’ancienne, complexe, passionnante et terrifiante.
Ce qui est vous est ici présenté est un roman à clef, dont toutes les issues n’ont pas été trouvées. Prostituées, conseillers de l’Elysée, proxénètes, ministres assoiffés de pouvoir, magistrats aux ordres, policiers corrompus, militants et journalistes manipulés…
Voilà à quoi ressemble ce qu’on appelle un système. L’assemblage brinquebalant d’un ensemble de bras cassés qui, sans avoir à le décider, s’alignent pour mordre et détruire. Au bout du fil, un homme, un corps, un destin. Celui de Juan Branco. Triplement visé. Un piège, deux pour le rattraper. Suffit.
Laissons-vous avec ce cas pratique d’imbrication d’une ère paranoïaque, d’un pouvoir aux abois et d’une justice hagarde, alternant entre soumission à l’air du temps et aux puissants. A lire et déguster. Quelque chose nous dit que ça ne fait que commencer.