Ce scandale avait été révélé le 4 décembre 2020 par le quotidien américain Philadelphia Inquirer, dans un silence complet des médias français, mais il vient de rebondir avec une enquête en cours sur le Rocher de la Principauté, selon la revue Public la semaine dernière.
L’excellent journaliste Jacques Tomet publie que « l’affaire concerne le prêtre américain William « Bill » McCandless, homme de confiance de Charlène de Monaco depuis son mariage en 2011 jusqu’à son départ pour Philadelphie en 2017. »
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Il rajoute que « pendant son séjour dans la Principauté, des milliers de photos pédopornographiques, dont certaines avec des tortures d’enfants, avaient été découvertes dans son ordinateur à la Fondation Charlène de Monaco, avait révélé le quotidien américain. »
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L’avocat du prêtre à l’époque, John Waldron, avait nié toute culpabilité de son client, et affirmé que McCandless fut victime de représailles de la part de personnes dont il avait découvert les activités illégales. Il avait assuré que cet ordinateur ne comportait aucun mot-clef et que n’importe qui pouvait y accéder.
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Selon la revue Public, une perquisition a eu lieu le 15 mars au cœur de la Fondation Charlène de Monaco à propos de cette affaire, mais ni l’avocat de la princesse ni la procureure en charge n’ont fait le moindre commentaire. Cette perquisition s’est déroulée quelques jours après le retour au Palais de Charlène, au terme d’une absence d’un an en Afrique du Sud puis en Suisse.
De retour sur le Rocher après quatre mois d’isolement en Suisse, où elle a été « soignée pour détresse morale et physique », Charlène de Monaco serait dans la tourmente à cause d’un nouveau scandale pédophile.
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Du quotidien loin d’être apaisé par l’épouse du prince Albert de Monaco, il est évoqué dans les colonnes du magazine Public, ce 24 mars. La mère de Jacques et Gabriella a finalement dû se reposer en s’isolant au Roc Agel, le domaine de 55 hectares des Grimaldi, mais « c’est sans compter sur les cruelles farces du destin ».
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La police a en effet débarqué dans les locaux de sa fondation le 15 mars pour une perquisition. Le but était de retrouver William McCandless, « qui officiait entre ces murs ». Cet homme d’Église a collaboré avec la princesse Charlène de Monaco jusqu’en 2017.
Malgré son passé douteux, lié à la pédophilie, l’épouse du prince Albert de Monaco l’aurait « embauché », lorsqu’il officiait dans une église anglophone de la principauté. Cette supposée amie proche de Charlène de Monaco aurait été mise à la disposition de la fondation de la princesse Charlène, après avoir officié dans un collège de la principauté.
Cet américain est accusé par la justice américaine d’avoir amassé des milliers d’images pédopornographiques alors qu’il travaillait à Monaco…