Un rapport récent du Sénat recommande de ne pas rendre publics les pays et entités qui détiennent la dette de l'État français, en contradiction apparente avec les dispositions légales en vigueur. Les détenteurs de la dette de la France doivent rester secrets, dixit le Sénat.
Dans le grand cirque audiovisuel français, où les audiences sont reines et les flops des pantins sacrifiés sur l'autel du CSA, deux nouvelles venues sur la TNT ont débarqué en fanfare il y a quelques mois : T18, fleuron du groupe CMI, et Novo19, bébé du groupe Ouest-France.
Pour son baptême du feu à la mise en scène, Kristen Stewart a puisé dans le réservoir des traumas générationnels, histoire de noyer la concurrence sous une vague coppolienne.
A 80 ans, Paul Pavlowitch, petit-cousin de Romain Gary (1914-1980), publiera le 9 février chez Buchet-Chastel un ultime récit dressant, derrière les figures de l’écrivain et de son épouse, l’actrice Jean Seberg, le portrait intime d’une famille où s’imagina « l’affaire Ajar » sur lequel il se livrera également à « des confessions inédites », annonce à Livres Hebdo sa maison d’édition.
L’ouvrage de 480 pages portera le titre de Tous immortels, un clin d’œil à la chanson Immortels, d’Alain Bashung, précise son éditrice Julia Pavlowitch, l’une des filles de l’écrivain, éditeur et journaliste qui fut, de 1973 à 1981, le « visage » d’Emile Ajar. Cet écrivain inventé par Romain Gary servit de prête-nom à l’auteur de La promesse de l’aube pour écrire quatre romans dont La vie devant soi, en 1975, avec lequel il put obtenir un second prix Goncourt après Les racines du ciel, sous son propre nom en 1956.
La couverture du livre Tous immortels de Paul Pavlowitch- Photo BUCHET CHASTEL
« Parce qu’après il sera trop tard »
Paul Pavlowitch, dont Buchet-Chastel souligne qu’il est « le dernier protagoniste vivant de cette aventure », livrera ses souvenirs entre Paris et le village du Lot où Romain Gary et Jean Seberg avaient une maison, où la famille se retrouvait et où il vit toujours, « parce qu’après il sera trop tard, et parce que je ne veux pas qu’il demeure de tout cela la malveillance ou l’ignorance », a-t-il déclaré, d’après Julia Pavlowitch.
Très proche de Romain Gary dont il était le fils d’une cousine germaine, Paul Pavlowitch, né à Nice en 1942, a occupé, après des études de droit, divers emplois avant de travailler pour l’édition. De l’incarnation publique pendant huit ans du personnage fictif d’Emile Ajar, il a tiré, après la mort de Romain Gary, son premier livre, L’homme que l’on croyait (Fayard, 1981), dans lequel il révèle la véritable identité d’Ajar. Il collabore ensuite à L’Autre journal, lancé par Michel Butel, et publie sous son propre nom cinq romans, de 1986 (La peau de l’ours, Mazarine) à 2005 (Tom, Ramsay).
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Entre punaises de lit et complots, nos élites jouent les clowns dans une tour de Babel, laissant Poutine triompher sans effort ! Tour d'horizon vertigineux.
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