Classique, brésilien, ticket de métro, intégral. Et on passe (on oublie même) les coupes extravagantes. C’est qu’un pubis ce n’est pas rien. Expression visible du Graal caché. Pour les femmes en tout cas (oui, chez l’homme, le pubis a du mal à s’affirmer devant l’extraverti phallus).
Et cette épilation est tellement importante, qu’elle peut suffire à symboliser à elle-seule la sensualité. C’est en tout cas le parti pris par Y&R Afrique du Sud et le réalisateur Jason Fialkov pour Playboy. Le magazine, qui fêtera ses 60 ans l’année prochaine, a peut-être influencé ses époques plus qu’on ne l’imagine.