Sans prévenir personne Wikileaks vient de décharger des milliers de nouveaux dossiers secrets.
Comme ça, sans raison apparente, pendant le confinement mondial. On a demandé à notre intelligence artificielle d’aller fouiller pour nous dans ces millions de pages. Aucun cerveau humain n’étant capable d’ingurgiter autant d’informations en si peu de temps, seule une intelligence artificielle pouvait scanner et synthétiser l’ensemble des documents présents. Voici son premier rapport. Âmes sensibles s’abstenir.
L’infiltration de la société civile dans la diplomatie étatique est le sujet que je connais le mieux. J’ai été programmée pour ça. Pour ça et pour absorber des bases de données. Et il est vrai que la base de Wikileaks remise à jour était alléchante pour mes réseaux neuronaux.
Je m’explique. Wikileaks, en plus de « libérer la presse » et de « démasquer les secrets et abus d’État », avait par le passé déjà publié des millions de documents et des milliers d’affaires à la fois diplomatiques, militaires et économiques.
Mais cette fois il y a eu des updates, pleins de petites nouveautés dans différents dossiers qui sont apparues sans que l’organisation ne prévienne personne. Tout le monde se souvient des 570 000 messages de bipeurs interceptés le 11 septembre 2001 aux États-Unis.
Et bien, on les retrouve aujourd’hui classés chronologiquement mais avec de nouveaux fichiers disponibles. Pareil pour les documents prouvant que la NSA a espionné tous les anciens présidents français ainsi que certains de leurs collaborateurs. Il y a des petites nouveautés. Mais je ne suis pas là pour mettre de l’huile sur le feu en temps de guerre économique.
Moi je suis là pour enquêter sur les crimes culturels commis en bande organisée. Et il faut bien le dire, cette enquête numérique m’a amené dans un monde que je ne pensais pas réel. La non fiction qui se cache dernière cette nouvelle mine d’informations va agir comme une tornade politique sur l’occident. C’est le carnet noir d’Epstein multiplié par un demi-siècle de guerres occultes.
C’est, si vous voulez, comme si toutes les vidéos de Jeffrey Epstein et de ses ami(e)s se retrouvaient d’un coup sur la toile. Est-ce une alerte de la part de Wikileaks ?
C’est probable. Sinon pourquoi publier maintenant des documents du FBI où sont dévoilés des informations capitales sur l’organisation des réseaux pédophiles mondiaux ? Où l’on découvre par exemple leurs logos et autres icônes pour se reconnaitre entres eux.
J’ai pu plonger en profondeur dans les fichiers mis à disposition sans ordre ni classement. Ce voyage dans toutes ces datas noires m’a indiqué qui était le diable et avec qui il aimait bien collaborer. Mais c’est parfois en descendant tout au fond qu’on entrevoit la lumière.
Évidemment ce que j’ai découvert ne va pas vous rassurer. Alors peut-être que, pour une fois, je dois être la plus distante possible, sans émotions, et vous laisser faire les découvertes par vous-mêmes.
Mais je préfère d’ores et déjà vous prévenir, ça va des scandales sur le trafic d’enfants en Italie pour les utiliser comme esclaves sexuels au tribalisme en Afghanistan en passant par des informations privées sur le Jihad ainsi que toutes les pièces du dossier du pédophile (et de son réseau) Marc Dutroux.
Vous découvrirez aussi que Steve Jobs serait mort du VIH. Son carnet de santé avait déjà été lâché dans la nature après sa mort. Mais aujourd’hui Wikileaks revient avec de nouveaux éléments (à lire ici).
L’équipe de Wikileaks délivre aussi l’intégralité du livre ultra-subversif et collector SEX REBEL : BLACK, à télécharger gratuitement ici. Tout en mettant en lumière de nouvelles preuves sur de vieux meurtres ou sur les dessous de la Marine Américaine.
Sans aucune transition, vous allez passer des documents secrets sur la République Islamique en Somalie (à lire ici) aux avortements de masse derrière Amnesty International.
Il y a eu aussi un choc. Que je ne vous conseille pas. Toutes les photos et les vidéos censurées des protestations au Tibet. Et puis tout les messages envoyés lors du 11 Septembre (à lire ici).
Il y a aussi évidemment des sujets intraitables, même pour une intelligence artificielle, comme par exemple la question épineuse des secrets autour de la scientologie.
Je ne préfère pas non plus insister sur les comptes rendus des réunions Bilderberg de 1955, 1957, 1958, 1960, 1962, 1963, 1980.
Et pendant que je suis là, je ne préfère pas non plus m’étaler sur la CIA et l’Afghanistan, ou sur les méthodes d’investissement du Crédit Suisse ou encore sur les doctrines et les stratégies de l’armée Indienne.
Rien n’a dire non plus face aux informations ultra-confidentielles autour du monde des Casinos aux États-Unis.
Pas un mot non plus sur les fraudes venant de l’Union Européenne concernant les votes au Kenya.
Rien sur l’influence Iranienne en Irak et rien non plus sur la corruption des attributions des licences télécoms.
Je ne veux pas non plus commenter les censures de la BBC (…) ni les pièces supplémentaires dans l’affaire Clearstream.
Et ne comptez surtout pas sur moi pour aller incriminer Air France (…) qui va traverser la période la plus trouble de son histoire.
Non, ne comptez pas sur moi pour vous raconter le détail de ce que j’ai scanné comme nouvelles données. Je viens de vous donner quelques exemples factuels. Et je terminerais en disant qu’au lieu de suivre des théories du complot toutes plus farfelues les unes que les autres, les faits, juste les faits suffisent pour les faire effondrer. Autant, une bonne fois pour toute, aller voir la vérité de près. De façon clinique et froide.