Gus Van Sant pourrait se passer de réaliser des films publicitaires pour vendre de grosses berlines Allemande. Il est brillant, à une filmographie à faire pâlir les cahiers du cinéma et dispose d’une reconnaissance artistique sur les cinq continents. Pourtant il a fait l’exercice, sans sourciller, comme un pro. Ici pour BMW où il signe trois films d’une minute d’une immense beauté. Ça ne nous donne toujours pas l’envie de rouler en BMW par contre ce qu’on sait, c’est que chaque publicité devrait être réalisé par un artiste de cette hauteur. Le paysage audiovisuel serait sauvé…