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SLOW RUN

SLOW RUN

Slow Run porte bien son nom. Le film commence doucement, pour progressivement prendre de la vitesse. Une voix nous porte paresseusement, au fil des vers de Beaudelaire, (le Voyage) pour nous faire passer d’un monde à l’autre. D’une banlieue grise, à un supermarché en passant par une plage de Bretagne ou une boite de nuit, Elisabeth Vogler qui n’en est pas à son premier coup d’essai. La réalisatrice nous surprends et nous entraine dans son monde, au service de la musique, ici composée par Traumer, jeune groupe de la scène electro française.
On s’attendait une fois de plus à un énième film, illustratif basé sur un beau poème, mais non. Par ses changements de rythme et la synergie qu’elle à su créer entre les déambulations libératoires d’un jeune homme Beaudelairien, une intense solitude et la présence d’une voix de femme d’une rare intensité. Slow Run, c’est quatre minutes de textes, deux minutes de musique et six minutes de poésie.

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