La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Slow Run porte bien son nom. Le film commence doucement, pour progressivement prendre de la vitesse. Une voix nous porte paresseusement, au fil des vers de Beaudelaire, (le Voyage) pour nous faire passer d’un monde à l’autre. D’une banlieue grise, à un supermarché en passant par une plage de Bretagne ou une boite de nuit, Elisabeth Vogler qui n’en est pas à son premier coup d’essai. La réalisatrice nous surprends et nous entraine dans son monde, au service de la musique, ici composée par Traumer, jeune groupe de la scène electro française. On s’attendait une fois de plus à un énième film, illustratif basé sur un beau poème, mais non. Par ses changements de rythme et la synergie qu’elle à su créer entre les déambulations libératoires d’un jeune homme Beaudelairien, une intense solitude et la présence d’une voix de femme d’une rare intensité. Slow Run, c’est quatre minutes de textes, deux minutes de musique et six minutes de poésie.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.