Dans le petit monde feutré de la tech française, où les start-ups fleurissent sous l’aile des milliardaires bien-pensants, un scandale vient d’éclater. Et comme par hasard, il est accueilli par un silence de plomb.
Imaginez la scène : un salon feutré du restaurant Laperouse, ce bastion de l'opulence parisienne niché sur la rive gauche de la Seine, où les lustres en cristal diffusent une lumière tamisée sur des nappes amidonnées et des couverts en argent massif.
638 000 dollars, des dîners annuels, une mailing-list privée avec Musk, Bezos, Brin, Page, Gates et Zuckerberg. Pendant que la décennie où il recrutait des mineures, Jeffrey Epstein était le plus gros donateur du think tank le plus prestigieux de la tech mondiale.
Slow Run porte bien son nom. Le film commence doucement, pour progressivement prendre de la vitesse. Une voix nous porte paresseusement, au fil des vers de Beaudelaire, (le Voyage) pour nous faire passer d’un monde à l’autre. D’une banlieue grise, à un supermarché en passant par une plage de Bretagne ou une boite de nuit, Elisabeth Vogler qui n’en est pas à son premier coup d’essai. La réalisatrice nous surprends et nous entraine dans son monde, au service de la musique, ici composée par Traumer, jeune groupe de la scène electro française. On s’attendait une fois de plus à un énième film, illustratif basé sur un beau poème, mais non. Par ses changements de rythme et la synergie qu’elle à su créer entre les déambulations libératoires d’un jeune homme Beaudelairien, une intense solitude et la présence d’une voix de femme d’une rare intensité. Slow Run, c’est quatre minutes de textes, deux minutes de musique et six minutes de poésie.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
En mai 2025, le Festival de Cannes a dévoilé The Phoenician Scheme, le dernier opus de Wes Anderson, un cinéaste dont le style visuel inimitable et les récits excentriques ont redéfini le cinéma d’auteur contemporain.
Le cinéaste Yves Boisset a un jour rencontré une officier de police judiciaire, Éliane, ayant été virée de son poste pour avoir poussé trop loin son enquête sur un réseau pédocriminel composé de notables de la région lilloise.
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