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Shinji Sōmai : le génie méconnu du cinéma japonais qui mérite enfin sa place en France
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
Pendant des décennies, ses films ont été superbement ignorés en France, comme si les patrons du cinéma hexagonal préféraient se gargariser entre eux ou, disons-le franchement, se faire sucer par leur neveu – coucou Dominique Boutonnat, grand pote d’Emmanuel Macron – plutôt que de laisser briller un génie venu d’ailleurs. Mais voilà, le vent tourne, et il est temps de hurler haut et fort : Shinji Sōmai mérite sa putain de place au soleil !
Un talent éclipsé par l’indifférence
Pourquoi les films de Sōmai ont-ils été si peu montrés en France ? Mystère et boule de gomme. Snobisme ? Incompétence ? Ou juste une bande de décideurs trop occupés à se taper dans le dos pour regarder au-delà de leurs frontières ? On pourrait presque voir un Boutonnat, bien calé dans son fauteuil, snober ces chef-d’œuvres pour mieux caser les petits copains. Peu importe la raison, le constat est là : une injustice monstre envers un cinéaste qui aurait dû être porté aux nues bien avant.
La découverte tardive : une claque cinématographique
Et puis, bim, presque par hasard, 2023 nous balance Déménagement. Réalisé en 1993, ce film débarque trente ans après et te colle une baffe monumentale. La mise en scène est audacieuse, les personnages te prennent aux tripes, et Sōmai capte les tempêtes intérieures comme personne. Une claque ? Non, une révélation. Les spectateurs français, médusés, se demandent comment ils ont pu rater ça.
2024, rebelote avec Typhoon Club. Ce teen movie culte de 1985, déroutant et brillant, arrive quarante piges après sa sortie. Et là, c’est la même : une modernité qui te scotche, une plongée dans l’adolescence qui te remue, loin des niaiseries habituelles. Le public est K.O., conquis, et se maudit d’avoir dormi sur un tel bijou pendant si longtemps.
Jardin d’été (The Friends) : la confirmation d’un maître
2025, on remet ça avec Jardin d’été (The Friends), daté de 1994. Trente et un ans plus tard, ce film sur l’amitié et la rédemption te cueille avec une douceur qui cogne fort. Chaque plan est un tableau, chaque silence un uppercut. Sōmai prouve encore qu’il est un maestro, et les Français, enfin, commencent à capter l’ampleur du truc. Mais bordel, pourquoi avoir attendu si longtemps ?
Un enthousiasme à la hauteur du talent
Franchement, comment ne pas sauter de joie devant cette résurrection ? Chaque film de Sōmai, c’est une claque, un voyage, un uppercut émotionnel. On trépigne d’impatience pour voir le reste de son œuvre – parce que oui, il en reste encore dans les cartons ! En attendant, on savoure ce qu’on a, et putain, ça fait du bien. Découvrir Sōmai, c’est comme tomber sur une pépite en plein désert : t’en reviens pas d’avoir vécu sans, et t’en veux encore.
Conclusion : foncez, bande d’ignorants !
Shinji Sōmai, c’est du lourd, du vrai, du cinéma qui te marque à vie. Ses films sont des trésors intemporels qui n’ont rien à envier aux mastodontes qu’on nous sert d’habitude. Alors, si t’as pas encore vu Déménagement, Typhoon Club ou Jardin d’été, bouge-toi ! Et pour le reste de son œuvre, prions pour que les pontes du cinéma français arrêtent de se tripoter entre eux et nous lâchent enfin la suite. Parce que le talent, le vrai, ça ne se planque pas sous les magouilles de copains. Allez, fonce, et prépare-toi à prendre ta claque !
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