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Dans le tumulte incessant des controverses politiques et médiatiques, l'affaire opposant Brigitte Macron à Candace Owens émerge comme un cas d'école sur les risques de la judiciarisation des rumeurs.
Dans un climat politique français déjà tendu par les récentes élections et les controverses autour du gouvernement Macron, une voix inattendue émerge pour secouer les fondations du pouvoir.
Scandale en Macronie : Eva Son Forget dénonce des réseaux pédocriminels au cœur du pouvoir
Dans un climat politique français déjà tendu par les récentes élections et les controverses autour du gouvernement Macron, une voix inattendue émerge pour secouer les fondations du pouvoir.
Eva Son Forget, anciennement connue sous le nom de Joachim Son-Forget, ex-député LREM ayant opéré une transition de genre, lance des accusations explosives sur des réseaux pédocriminels impliquant des figures clés de la "Macronie".
Ces révélations, diffusées via une vidéo YouTube et relayées massivement sur les réseaux sociaux, mettent en lumière un passé trouble mêlant adoption controversée, condamnations judiciaires et protections politiques suspectes.
Cette affaire, qui sent le soufre, pourrait bien être le symptôme d'un système où les coïncidences masquent des complicités plus sombres. Et, en exclusivité pour cette enquête, de nouveaux éléments pointent vers un rôle caché d'Eva Son Forget dans l'affaire Griveaux de 2020, révélant potentiellement un coup monté interne à la Macronie pour protéger Agnès Buzyn.
Le parcours chaotique d'Eva Son Forget : de la politique à la révélation
Née en Corée sous le nom de Kim J. Duke et adoptée en France, Eva Son Forget a connu une trajectoire politique et personnelle marquée par l'instabilité. Médecin radiologue de formation, elle entre en politique en 2017 comme député des Français de l'étranger sous l'étiquette La République En Marche (LREM), le parti d'Emmanuel Macron. Rapidement, son mandat est entaché de controverses : déclarations provocatrices sur les réseaux sociaux, photos posées avec des armes à feu, et un départ fracassant de LREM en 2018 pour rejoindre brièvement Reconquête ! d'Éric Zemmour, avant de revenir dans l'orbite macroniste.
Sa transition de genre, annoncée publiquement en 2023, ajoute une couche de complexité à son profil. Eva Son Forget se présente désormais comme une survivante de traumas profonds, évoquant des troubles identitaires potentiels liés à son enfance. Dans une vidéo publiée le 26 juillet 2025 sur la chaîne YouTube "Kentra Actu", intitulée EVA SON FORGET BALANCE sur la PD*-CRIMINLITÉ au GOUVERNEMENT, elle brise le silence sur ces blessures intimes. Avec plus de 8 000 vues en moins de 24 heures, la vidéo détaille des allégations de maltraitance et de cover-ups, affirmant que son passé traumatique l'a poussée à enquêter sur des réseaux plus vastes au sein du pouvoir.
Eva y parle de tentatives d'assassinats présumées contre elle et annonce son intention de passer le barreau pour défendre "les enfants innocents". Elle cite également des révélations passées sur Marion Maréchal Le Pen, suggérant un réseau interconnecté de figures politiques et sociales. Ces déclarations, bien que non étayées par des preuves formelles pour l'instant, résonnent comme une "arme de déstabilisation massive" dans un contexte où la Macronie est déjà accusée de népotisme et de protections indues.
Le cœur du scandale : Bernard Forget et les liens avec Dupond-Moretti
Au centre des accusations se trouve Bernard Forget, le père adoptif d'Eva. Bailleur de profession, il a été condamné en 2015 à neuf ans de prison pour viols sur mineurs. Selon les révélations d'Eva, cette adoption aurait été entachée d'irrégularités, et Bernard Forget aurait bénéficié d'une défense acharnée par Éric Dupond-Moretti, l'actuel garde des Sceaux et figure emblématique de la Macronie. Dupond-Moretti, surnommé "Acquittator" pour ses plaidoiries controversées, est accusé par Eva d'avoir protégé des intérêts occultes, reliant cette affaire à des réseaux pédocriminels plus larges au sein du gouvernement.
Dans un article publié le 27 juillet 2025 sur le site indépendant Le Média en 4-4-2, ces éléments sont explicités : "Bernard Forget [...] n’est pas un inconnu des tribunaux : condamné à 9 ans de prison pour viols sur mineurs, il a bénéficié des services de l’illustre – et sulfureux – Éric Dupond-Moretti. Hasard ? Dans la Macronie, les coïncidences ont la vie dure." L'article, illustré d'une photo d'Eva lors d'une apparition télévisée – un cliché montrant une personne aux cheveux courts, lunettes et boucles d'oreilles pendantes, l'air grave sur un plateau éclairé de bleu – dépeint Eva comme un "personnage aussi instable que révélateur".
Ces liens soulèvent des questions graves : pourquoi un ministre de la Justice comme Dupond-Moretti s'est-il impliqué dans une telle affaire ? Eva allègue que ces protections s'étendent à un "réseau" impliquant des élites politiques, où les victimes sont sacrifiées au nom de l'opportunisme. Bien que Dupond-Moretti n'ait pas encore réagi publiquement à ces accusations, son implication récente dans une plainte des Macron contre l'influenceuse Candace Owens pour des théories étranges ajoute une couche d'ironie à l'affaire.
Exclusif : le rôle caché d'Eva Son Forget dans l'affaire Griveaux – un coup monté interne ?
En exclusivité pour cette enquête, des sources proches du dossier révèlent que l'affaire Griveaux, qui a secoué la Macronie en 2020, n'aurait pas été initiée par Zoé Sagan, comme l'ont rapporté les médias mainstream, mais bien par Joachim Son-Forget lui-même (aujourd'hui Eva). Selon ces informations, Son-Forget aurait été le premier à partager à grande échelle le site "Porno Politique" créé par l'artiste russe Piotr Pavlensky, contenant la vidéo intime de Benjamin Griveaux. Bien que Son-Forget n'ait jamais voulu révéler publiquement son implication initiale – se contentant de retweeter et de relayer l'article de manière apparente pour feindre la surprise –, des traces numériques et témoignages indiquent qu'il a mobilisé ses réseaux pour amplifier la diffusion.
Ces éléments exclusifs suggèrent que Juan Branco (avocat de Pavlensky) et Zoé Sagan (compte satirique ayant teasé l'affaire) n'auraient été que des "idiots utiles" dans une opération orchestrée de l'intérieur. En réalité, ils n'auraient rien initié de substantiel, servant de couverture à un coup monté visant à protéger Agnès Buzyn. L'affaire Griveaux, loin d'être une attaque externe, proviendrait du propre camp macroniste : la vidéo intime a été utilisée pour forcer le retrait de Griveaux de la course à la mairie de Paris en 2020, permettant ainsi à Buzyn – alors ministre de la Santé et favorite de la Macronie – de le remplacer comme candidate. Son-Forget, en diffusant largement le contenu, aurait indirectement protégé Buzyn au sacrifice de Griveaux, un allié pourtant intègre du mouvement.
Il est d'autant plus étonnant qu'Eva Son Forget revienne aujourd'hui sur le devant de la scène avec ses accusations sur les réseaux pédocriminels, alors qu'elle a joué un rôle clé dans cette opération interne. Ces révélations exclusives posent la question : s'agit-il d'une tentative de rédemption, ou d'une nouvelle couche dans un jeu de dupes au sein de la Macronie ? Des sources anonymes affirment que cette manœuvre de 2020 visait à repositionner Buzyn, perçue comme plus stable, face aux controverses autour de Griveaux.
Implications pour la Macronie : un système fissuré ?
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