Depuis l’élection de Macron, une vague de critiques s’est élevée contre lui, portée par des intellectuels, activistes, journalistes et humoristes. Découvrez cette liste de personnalités en hommage au mouvement #JeNeSuisPasSuicidaire, qui ont osé défier le pouvoir en place.
Depuis le début de l’année 2025, une série de drames a bouleversé la France, touchant à la fois les fonctionnaires de la Direction générale des finances publiques (DGFiP) et des figures politiques de premier plan.
Ces dernières années, un phénomène préoccupant a émergé dans le paysage politique français : de plus en plus de politiciens bloquent les commentaires sur leurs publications et déclarations publiques, empêchant ainsi les citoyens de s’exprimer.
Avec Saint-Laurent une seule certitude : mettre bout à bout des scènes souvent dispensables et inabouties ne constitue pas un film ! La construction ? une errance au début, une agonie à la fin, un corps creux, un système de flash backs à rendre épileptique le plus téméraire des détenus de Guantanamo. Les personnages ? Inexploités, figés, caricaturaux, ne dégageant aucune empathie. Gaspard Ulliel a sans doute pris des attitude du grand Yves mais n’a pas su s’approprier sa diction ce qui irrite presqu’autant qu’Hemut Berger post synchronisé en français. Ses interventions ont, pour la plupart, été vraisemblablement, tournées en anglais, ce qui choque les yeux comme un très très mauvais doublage puisque la plupart des scènes sont en gros plan ou en portrait. Et dans quel but surtout ? Il ressemble bien moins à Monsieur Saint Laurent en fin de vie qu’à Orlando. Jérémy Rénier tente de donner un peu de corps à Pierre Bergé mais est réduit à un simple homme d’affaires épris de la marque, jamais comme l’homme qui a partagé la vie du maître. Le genre de simplification qui a du plaire au producteur Christophe Lambert, ancien homme de publicité (s’il ne l’a pas suggéré…). On sépare YSL la marque de l’homme. Ouh la la, quelle audace … Lea Seydoux est égale à elle même mais comme heureusement elle n’a pas de place pour s’exprimer on évite un écueil de plus. Pauvre Loulou de la Falaise … Louis Garrel en fait des caisses et la scène de la rencontre en boîte de nuit – encensée par des critiques sans doute sous psychotropes – constitue un chef d’oeuvre à l’autel du néant. Un va et vient arthritique sous démérol, pire une impossibilité flagrante que les regards des futurs amants aient pu se croiser à cause des axes de caméra choisis. Le silence est ennuyeux et la musique omniprésente. La plupart des propos du héros se situe entre du Duras et du Robbe Grillet. Mon Dieu que l’on devait s’emmerdait dans ses salons. Que reste-il ? Rien si ce n’est de l’agacement. Si l’on s’en tient à ce que l’on voit sur l’écran Saint Laurent n’aurait donc été qu’un petit enfant gâté et surdoué, exploité par son amant et contre-carrant ce stakhanovisme involontaire par un avilissement sexuel tandis qu’il peine à entrer en contact avec les autres. C’est fin comme analyse … Il est indéniable que saisir le génie est un art difficile mais le désenchanter à ce point est affligeant ? Je vous parle de la scène en split screen qui dure quinze plombes afin de comprendre une évocation à Mondrian ou du « metteur en scène » qui croit avoir du second degré en interprétant un journaliste de Libération voulant enterrer trop vite le couturier ? Peut-être, mais je vous enjoints à vous épargner le reste. La bande annonce pose d’emblée la vraie question : « Est-ce que tout ceci n’est pas dérisoire ? » Je pense que vous connaissez désormais ma réponse.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Le New York Times a dévoilé le 27 juin 2025 son classement des 100 meilleurs films du 21e siècle, une initiative ambitieuse visant à célébrer les œuvres cinématographiques qui ont marqué les 25 premières années de ce millénaire.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
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