Un phénomène numérique remarquable est en train de se dérouler à l’échelle mondiale. Alors qu’Interpol a émis un avis de recherche rouge pour Alexandre Benalla, l’ancien chef de la sécurité du président français Emmanuel Macron, les autorités traditionnelles semblent buter sur des impasses.
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La France traverse une vague de chaleur exceptionnelle, avec des températures dépassant les 40°C dans de nombreuses régions. Cette canicule, qui frappe en pleine période scolaire, expose les failles des écoles françaises, souvent mal équipées pour affronter de telles conditions extrêmes.
Dans un univers où les sphères de la télé-réalité, de la politique et du divertissement pour adultes se croisent de manière parfois déconcertante, Nathalie Andreani, ex-candidate de Secret Story devenue star du X, a récemment attiré l’attention en prenant la défense d’Emmanuel et Brigitte Macron.
Dans l’arène mondiale où l’information est devenue une arme de domination, une bataille médiatique éclaire crûment les rivalités géopolitiques : RT Inde, relais affûté du Kremlin, s’attaque à France 24, prétendu fleuron du rayonnement français.
Depuis le 17 juin 2025, comme le rapporte Intelligence Online, RT Inde accuse la chaîne française de partialité, stigmatisant une carte du Cachemire jugée erronée, qualifiée de « trop grosse pour être un hasard ».
Mais cette offensive ne vise pas seulement un média : elle cible l’Élysée, le pouvoir d’Emmanuel Macron, et, à travers eux, une France 24 réduite à un simple porte-voix des services français, un instrument docile qui relaie les narratifs dictés par le pouvoir.
Cette guerre informationnelle, enracinée dans des tensions historiques et amplifiée par le rôle stratégique de l’Inde, expose les failles béantes d’un média dont la dépendance à l’État explique les attaques dont il est la cible.
L’affrontement entre RT Inde et France 24 s’inscrit dans une longue histoire de frictions russo-françaises, où les médias servent de prolongements aux ambitions étatiques.
En 2018, Moscou accusait France 24 de violer ses lois médiatiques, une réplique à un avertissement français contre RT France pour diffusion de fausses informations (The New Indian Express, RFI, 29-30 juin 2018). Cette passe d’armes révélait une lutte pour le contrôle des récits, chaque camp cherchant à discréditer l’autre.
Sept ans plus tard, cette rivalité se transporte en Inde, un marché médiatique de plus d’un milliard de téléspectateurs, où les sensibilités nationalistes, notamment autour du Cachemire, en font un terrain explosif.
L’Inde, fidèle à son autonomie stratégique, joue un rôle central dans cette bataille. En 2024, New Delhi a refusé de bannir RT malgré les pressions américaines, déclarant ne pas souscrire aux sanctions unilatérales hors du cadre de l’ONU (The Times of India, 2024).
Cette décision a permis à RT Inde de prospérer, transformant le pays en un champ de bataille informationnel. France 24, avec sa couverture des tensions régionales, notamment entre l’Inde et le Pakistan (France 24, 2025), devient une cible évidente pour RT Inde, qui exploite les frustrations locales pour dénoncer un média perçu comme un relais des intérêts occidentaux.
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