La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
L’art, comme un chemin spirituel, exige toujours le dénuement pour atteindre le nirvana. Il faut épurer, simplifier, resserrer, pour toucher à l’essence. Écrire comme Louis-Ferdinand Céline qui jetait plus de pages qu’il n’en écrivait. « Écrire comme peint Cézanne » comme disait Hemingway. C’est ce chemin qu’emprunte Robert Montgomery. L’Écossais est revenu loin, très loin, jusqu’à l’incipit biblique, « au commencement était le verbe« . Il est remonté si loin dans l’inspiration, que son œuvre se nourrit désormais de tous les arts, elle s’enracine dans l’âme commune de toutes les muses. Poésie, peinture, street art, cinéma, sculpture, littérature… Robert Montgomery est tout simplement un artiste.
Comme tous les vrais artistes, Robert Montgomery est un vandale dans l’âme. En détournant les espaces publicitaires illégalement pour y inscrire ses messages à la fois poétiques et politiques, l’artiste nous empêche de flâner tranquillement. Ils imposent à nos cerveaux isolés par les ipods, à nos âmes perdues dans l’anonymat de la foule, à nos yeux fatigués par trop de sollicitations, à nos pieds somnambules des trajets quotidiens, à nos corps apeurés de l’étranger, Robert Montgomery impose à tout notre être une réflexion et une clairvoyance qui nous plonge dans l’inconfort du chemin de vérité.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.