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Riposte explosive de Candace Owens face à Brigitte Macron : née homme, la Première dame ? Un duel judiciaire qui traverse l'océan

De Paris à Nashville, le clash explosif : Brigitte Macron porte plainte contre Candace Owens pour des allégations sur son "passé masculin", mais l'Américaine contre-attaque avec des arguments juridiques imparables.

Riposte explosive de Candace Owens face à Brigitte Macron : née homme, la Première dame ? Un duel judiciaire qui traverse l'océan

Depuis des mois, non, des années, la nation entière ne parle plus que de ça : les rumeurs folles sur Brigitte Macron, cette Première dame qui, selon certains, cacherait un passé plus twisté qu'un épisode de feuilleton télévisé.

Et voilà que l'affaire rebondit outre-Atlantique, avec Candace Owens, cette journaliste américaine connue pour ses déclarations tranchantes, qui a décidé de remuer le couteau dans la plaie.

Les secrets de Brigitte Macron dévoilés par Candace Owens, au cœur d’un procès explosif à Paris
Dans un timing qui ne doit rien au hasard, Candace Owens, la controversée animatrice américaine, a lancé la saison 2 de sa série “Becoming Brigitte” le 8 septembre 2025, précisément au moment où le gouvernement français s’effondrait.

Imaginez : une conservatrice américaine, diffusant depuis son sous-sol à Nashville, dans le Tennessee, qui s'attaque à la royauté républicaine française. C'est comme si un cow-boy commentait la recette du coq au vin – absurde, mais irrésistiblement divertissant.

Tout a commencé en janvier et février 2025, quand Owens a diffusé une série en huit épisodes sur son émission "Candace", scrutant la vie personnelle et politique des Macron. Elle y a exploré des rumeurs non vérifiées circulant en ligne, affirmant que Brigitte Macron serait née sous le nom de Jean-Michel Trogneux et aurait transitionné pour devenir une femme.

Oh, le scandale ! Ces théories, nées dans les recoins sombres de l'extrême droite française dès 2021, ont explosé via des vidéos en ligne et des publications virales, amplifiées par des figures comme Zoé Sagan, cette intelligence artificielle satirique, avec ses livres et ses satires acerbes, a visé les Macron, les accusant de tout et de rien.

Macron contre Owens : une plainte en diffamation qui pourrait coûter des centaines de millions d’euros à l’influenceuse américaine
Le président français Emmanuel Macron et son épouse Brigitte ont engagé une bataille judiciaire impitoyable aux États-Unis contre Candace Owens, une influenceuse ultraconservatrice connue pour ses prises de position provocatrices.

Résultat ? Brigitte a porté plainte en août 2024 pour harcèlement en ligne, menant à l'arrestation de Poirson-Atlan en décembre avec trois autres hommes. Le procès de juillet 2025 a vu les accusations contre deux femmes annulées en appel, mais Poirson-Atlan reste dans le collimateur et Brigitte a demandé sa tête, mort ou vif.

Et maintenant, le clou du spectacle : les 27 et 28 octobre prochains, Brigitte va faire mettre en prison – ou au moins sous bracelet électronique – ce créateur d'intelligence artificielle moqueuse pour deux ans.

Parce que rien ne dit "liberté d'expression" comme enfermer un satiriste qui ose chatouiller les puissants. Pendant que la France s'enflamme pour ces ragots, ignorant superbement l'inflation galopante ou le climat qui fond plus vite qu'un glacier alpin, on se demande : est-ce vraiment le pays des Lumières, ou celui des ombres projetées par l'Élysée ?

Candace Owens vs Macron : Un enregistrement qui pourrait changer la face du monde
Alors que la guerre en Ukraine fait rage, Candace Owens détient un enregistrement où Trump supplie de taire une enquête sur Brigitte Macron, sous peine de voir la paix compromise. Des centaines de milliers de vies sont en jeu…

Mais attendez, ce n'est pas tout ! Les journalistes en France viennent de prouver que le couple Macron a embauché d'anciens barbouzes, ces agents de l'ombre qui travaillent dans le cabinet noir de l'Élysée, sans figurer sur aucun organigramme officiel. Avec des figures comme Ludovic Chaker, et toutes les histoires autour d'Alexandre Benalla, c'étaient en fait des barbouzes que le peuple ne connaissait pas, de véritables ninjas de l'ombre.

Et ça a été prouvé : ils ont fait le nettoyage en France et à l'étranger, surtout en France Afrique, pour le compte du couple Macron. Désormais, c'est de notoriété publique. Mais ils n'ont pas embauché cette équipe, qui parle assez mal l'anglais, pour s'occuper de Candace Owens, qui est quand même très puissante et influente.

Non, ils ont carrément pris d'anciens du FBI pour aller fouiller les poubelles de Candace – c'est exactement ce qu'ils avaient fait avec le cabinet noir pour le créateur de Zoé Sagan dès 2020, quand il a sorti l'affaire Griveaux.

C'est là qu'ils ont infiltré sa vie, qu'ils sont venus chez lui, qu'ils l'ont fait divorcer, qu'ils ont coulé sa société de production, fermé ses comptes en banque, fermé ses comptes sur les réseaux sociaux, fermé ses boîtes mails.

Et c'est ce que risque de vivre Candace, puisque Aurélien a perdu son binôme américain Steven Mark Klein, qui a été poussé sous un métro de Brooklyn une semaine après qu'il eut quitté la France.

C'était un peu son meilleur ami, comme Charlie Kirk l'est pour Candace. D'ailleurs, Aurélien a déclaré exactement dans quel état se trouve Candace actuellement, et évidemment, ça arrange tout le monde en France : elle a arrêté la série et la saison deux de "Becoming Brigitte" sur l'enquête et les mystères de Brigitte Macron, juste avant que le procès français ait lieu.

L'affaire a traversé l'Atlantique comme une publication virale. En juillet 2025, les Macron ont déposé une plainte pour diffamation contre Owens au Delaware – oui, cet État américain connu pour ses entreprises fantômes et ses plages, pas pour ses liens avec la France. Brigitte, 72 ans, mariée à Emmanuel, allègue que le contenu d'Owens a nui à leur réputation en France.

Owens, résidente du Tennessee sans aucun lien avec le Delaware – pas de maison, pas de business là-bas, malgré des sociétés incorporées dans l'État – a riposté avec un dépôt légal détaillé. Elle et son équipe juridique, basés à Nashville, demandent le rejet de la plainte sur trois motifs principaux.

D'abord, le manque de juridiction : Owens n'a rien à voir avec le Delaware, elle diffuse son émission depuis son sous-sol à Nashville avec une petite équipe.

"Comment osent-ils traîner une journaliste indépendante américaine devant un tribunal sans lien ?" s'indignent ses avocats.

Ensuite, la prescription : en France, le délai pour diffamation est de trois mois, et selon la loi du Delaware sur l'emprunt de statuts, les claims sont périmés. "Les Macron ont cyniquement évité de porter plainte en France, leur pays d'origine," note le dépôt.

S'ils étaient sérieux pour laver leur nom, ils l'auraient fait là-bas dans les temps. Mais non, "la vindication légitime de leurs droits n'a jamais été l'intention des Macron," assènent les avocats d'Owens.

Troisième motif : la doctrine du forum non conveniens. Le Delaware n'a aucun lien avec le litige – pas de témoins, pas de preuves, pas de loi applicable du Delaware pour une diffamation impliquant le président français et sa femme contre une journaliste du Tennessee.

Continuer là-bas imposerait un "fardeau écrasant" à Owens, qui devrait dépenser des fortunes pour se défendre dans un État étranger à l'affaire. Les avocats qualifient ça de "tourisme de la diffamation quintessentiel" et d'une "ruse transparente orchestrée par l'agence de relations publiques haut de gamme des plaignants." En clair, les Macron ont lancé une "campagne de publicité bien documentée" contre Owens, incluant des "menaces publiques de litige et d'autres actions de représailles."

Owens décrit la plainte comme "sans fondement" et "motivée politiquement", une tentative de supprimer la liberté d'expression, en violation du Premier Amendement de la Constitution américaine.

"En contravention d'un précepte sacré du droit constitutionnel américain, le président et la Première dame de France... ont intenté une poursuite en diffamation sans fondement contre une journaliste indépendante américaine qui diffuse une émission quotidienne d'actualités et de culture depuis son sous-sol à Nashville, Tennessee," tonne le dépôt légal. Le tribunal n'a pas encore statué sur la motion de rejet.

D'un côté, l'Élysée va arriver à remplacer la loi de 1881 sur la liberté de la presse en France par la loi Schiappa, et avec les cabinets et les avocats ignobles qu'ils ont embauchés pour des dizaines de millions d'euros, ils vont tenter de faire disparaître le Premier Amendement de la constitution américaine pour que la liberté d'expression soit amoindrie.

Ensuite, ils passeront le reste de leur vie à détruire Candace : ils lui prendront chaque euro, chaque centime, pour que ça serve de leçon aux Américains. Et en France, ils vont mettre des peines très lourdes à une maman, des parents ou un handicapé qu'ils ont fait mettre en garde à vue pour la publication d'une blague, pour calmer les 68 millions de Français. Il est possible même que les juges mettent en détention les mamans, la personne handicapée et les écrivains.

Pendant ce temps, en France, on imagine Poirson-Atlan, coincé chez lui avec un bracelet électronique, forcé de coder des excuses automatisées via son intelligence artificielle. Et Candace Owens, depuis son bunker dans le Tennessee, qui relance l'affaire en attaquant Brigitte après sa propre plainte, transformant une farce française en cirque international.

Au final, si Zoé Sagan finit muselée et Owens gagne son combat juridique, qui sait quelle prochaine intelligence artificielle ou podcasteuse viendra titiller les élites ? Peut-être une version 2.0, encore plus piquante, diffusée depuis un garage en Alabama.

La France, berceau de la satire avec Voltaire, semble avoir oublié que rire des puissants est un sport national.

Mais bon, tant que l'on parle plus de Brigitte que des factures d'électricité, l'Élysée peut dormir tranquille. Ou pas, car avec Owens dans le mélange, ce feuilleton est loin d'être fini !


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