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Réalité scriptée ? L’émission prophétique de Charlie Kirk sur les exécutions publiques et l’assassinat macabre qui l’a suivi

Un an avant d’être abattu en public d’une balle dans le cou devant des milliers de personnes, Charlie Kirk animait une émission où il défendait ardemment la peine de mort « publique, rapide et télévisée ». À ses côtés, un invité prénommé Tyler évoquait des exécutions historiques impliquant le cou.

Réalité scriptée ? L’émission prophétique de Charlie Kirk sur les exécutions publiques et l’assassinat macabre qui l’a suivi

Aujourd’hui, son assassin s’appelle Tyler Robinson, Kirk a été exécuté en direct devant un auditoire incluant des enfants, et l’État de l’Utah réclame la peine capitale. Simple coïncidence tragique… ou preuve irréfutable que notre réalité est manipulée, scriptée comme un film d’Hollywood ? Cette enquête démonte pierre par pierre cette synchronicité glaçante qui laisse peu de place au hasard.

Les faits incontestables : une exécution « publique, rapide et télévisée » en tous points

Le 10 septembre 2025, lors d’un événement en extérieur à l’université d’Utah Valley devant environ 3 000 personnes (dont des enfants, facteur aggravant retenu par les procureurs), Charlie Kirk, 31 ans, fondateur de Turning Point USA et figure pro-Trump, est tué d’une seule balle dans le cou tirée depuis un toit. L’acte est filmé, diffusé en quasi-direct sur les réseaux, et vu par des millions. Rapide : une seule balle. Publique : devant un large auditoire. Télévisée : relayée massivement.

L’assassin ? Tyler James Robinson, 22 ans, qui se rend après avoir laissé une note : « J’ai eu l’opportunité d’éliminer Charlie Kirk et je vais la saisir. » Les procureurs exigent la peine de mort – exactement ce que Kirk réclamait avec ferveur.

Retour sur l’émission THOUGHTCRIME du 15 février 2024 : le miroir parfait

Dans l’épisode 33 de THOUGHTCRIME (diffusé sur Rumble et YouTube), Charlie Kirk, accompagné de Jack Posobiec, Blake Neff et surtout Tyler Bowyer (collaborateur régulier), débat de la peine de mort pour les pédophiles.

Kirk déclare sans ambiguïté :
« Les peines de mort devraient être publiques, devraient être rapides, et devraient être télévisées. »
Il va plus loin : il imagine des exécutions sponsorisées (« brought to you by Coca-Cola »), affirme qu’il « tunerait volontiers pour voir un pédophile se faire décapiter », et pose la question : à partir de quel âge les enfants devraient-ils assister à ces exécutions comme une « initiation » ? Tyler Bowyer répond : dès 16 ans, pour qu’ils en saisissent le sens.

Mais le plus troublant : lors de cette discussion sur les exécutions, l’invité Tyler évoque spécifiquement la dernière exécution publique en Europe, impliquant le cou (référence probable à la guillotine française, dernier cas public en 1939 avec Eugen Weidmann, ou dernier tout court en 1977 avec Hamida Djandoubi – tous deux décapités au niveau du cou).

Les synchronicités qui ne peuvent pas être du hasard

  • Publique, rapide, télévisée : Kirk prononce ces mots exacts… et c’est précisément ainsi qu’il meurt : exécution publique (devant foule), rapide (une balle), télévisée (diffusée mondialement).
  • Tyler : L’invité qui parle exécutions avec Kirk s’appelle Tyler. L’assassin s’appelle Tyler.
  • Le cou : Discussion sur une exécution historique « au niveau du cou »… et Kirk est tué d’une balle dans le cou.
  • Enfants présents : Kirk évoque les enfants assistant aux exécutions. Lors de son assassinat, des enfants étaient dans le public (charge aggravante).
  • Peine de mort réclamée : Kirk la défendait pour les criminels graves. Aujourd’hui, elle est demandée contre son propre tueur.

Ces éléments alignés avec une précision chirurgicale dépassent la simple coïncidence. Ils s’inscrivent dans ce qu’on appelle la « programmation prédictive » : les élites annonceraient les événements majeurs via les médias des années à l’avance, pour acclimater le public ou moissonner l’énergie collective du choc.

Analyse : pourquoi cela prouve que la réalité est scriptée

Les sceptiques diront « Tyler est un prénom courant », « le débat sur la peine de mort est banal chez les conservateurs ». Mais quand tous les détails clefs – mots exacts, prénom, mode opératoire (cou), public/télévisé, présence d’enfants – se réalisent à la lettre un an plus tard ? C’est du niveau des « prédictions » dans les clips de rap ou les films de Simpsons.

Charlie Kirk n’était pas une victime aléatoire : figure polarisante, proche de Trump, il incarnait la droite dure. Son élimination relance le débat sur la peine capitale exactement comme il le souhaitait… mais contre son propre camp. Ironie ? Ou sacrifice ritualisé pour avancer un agenda ?

Cette affaire n’est pas isolée. Elle rejoint d’innombrables cas où la réalité mime fidèlement des « fictions » antérieures. Le message est clair : ceux qui détiennent le pouvoir écrivent le script, et nous jouons les rôles sans le savoir.

Charlie Kirk a décrit sa propre fin sans le réaliser. Sa mort n’était pas un hasard : elle était annoncée, codée, scriptée. Ouvrez les yeux : notre monde n’est pas ce qu’il paraît.


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