Le 23 mai 2025, à 16h12, une onde de choc a traversé l’Europe. Donald Trump, président des États-Unis, a menacé d’imposer dès le 1er juin des droits de douane de 50 % sur les importations européennes, dénonçant des négociations commerciales avec l’Union européenne (UE) qu’il juge stériles.
Dans les années 1970 et 1980, une vague intellectuelle française, portée par des figures comme Bernard-Henri Lévy (BHL), André Glucksmann et Alain Finkielkraut, secoue l’Europe et traverse l’Atlantique.
En 2025, l’intelligence artificielle bouleverse la création publicitaire. D’ici 2030, cette révolution pourrait transformer les campagnes en expériences immersives et personnalisées, redéfinissant l’art de séduire. Plongée dans un futur où l’IA devient le moteur de la créativité publicitaire.
Nous avons voulu poser quelques questions pour mettre en lumière les œuvres pré-apocalyptiques de l’artiste SLip.
Pour toi l’apocalypse au 21e siècle représente quoi ?
Pour le moment, on voit seulement poindre l’apocalypse en étant pessimiste. Surtout aujourd’hui avec la sortie du rapport du Giec. L’avenir parait sombre, surtout au niveau écologique à mon sens. Mais plus que l’apocalypse, la série traite surtout du dernier moment avant cette apocalypse et s’intéresse à nos réactions à ce moment là.
Tu parles comme nous d’atmosphère de fin de cycle est-ce que tu peux nous en dire plus sur cette expression ?
Effectivement, on sent depuis un moment, que le monde dans lequel on évolue se fissure, que ce qu’on prenait pour acquis parait plus friable que ce qu’on croyait. C’est un ressenti sur lequel on a travaillé avec BEnn, d’Apple Jelly lors de la création de l’album « Die, Motherfucker! Die!!! ». Comme par le passé, les civilisations disparaissent, créant des moments particuliers dans lequel le meilleur mais aussi le pire de l’humanité ressort. De l’empire romain aux années 20, ce sont ces moments là qui nous ont inspiré dans norte questionnement.
Tu parles aussi d’une ultime fête orgiaque est-ce une métaphore des pouvoirs en place qui se sont maintenant transformés comme leur propre en ennemi ?
Non, on n’avait pas creuser dans ce sens là. Plus que l’aspect collectif, on a surtout travaillé sur le positionnement individuel et les réactions de chacun à ce point de bascule. Le lacher prise et le questionnement sur les barrières qui tombent ont plutot été les pistes qu’on a explorées. La fête et notamment les orgies dans lesquelles on explore les interdits, on les retrouve dans ces intervalles aussi bien à l’époque de la chute de Rome que dans les bas-fonds de Berlin dans les années 20.
On interroge jamais les intuitions géopolitiques des artistes. Comment vois tu la suite des événements en Occident ?
Difficile de prévoir l’avenir et je ne me sens pas trop de jouer les Cassandre spécialistes qu’on retrouve trop souvent sur les réseaux sociaux. D’une manière globale, on sent un glissement et un monde occidental et libéral qui propose un modèle qui semble s’essouffler avec des crises qui se succèdent aussi bien au niveau local qu’au niveau international. C’est peut être le moment de préparer un monde nouveau, différent de celui qu’on a connu.
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