De Coluche à la gabegie, les Restos du Cœur, croulent sous les scandales. Un bénévole détourne 25 000 euros de vivres pour un club libertin, un autre invente une agression islamiste, tandis que l'asso dramatise une "crise" pour empocher des dons records... et dégager un excédent de 22 millions.
Dans un procès surréaliste où dix citoyens ordinaires – un prof de sport, une maman aux fins de mois difficiles, un élu de village – sont traînés au pilori pour deux tweets osés, les médias français s’unissent en meute impitoyable, de Libération à CNews.
Révélations sur les pressions exercées par l'entourage présidentiel et les réseaux du luxe pour écarter Aya Nakamura de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques, avant un revirement opportuniste d'Emmanuel Macron.
Le projet n’est pas encore abouti, et pour cause, il a débuté il y a peu. Mais son originalité mérite qu’on se penche sur le travail de ce Trevor Christensen. La photo de nu est devenue plus qu’un art : une obsession. Il suffit de voir l’écho médiatique de quelques photos de célébrités hackées et photoshopées pour dévoiler leur intimité. L’obsession d’une époque où le masqué, le caché, n’excite pas, mais offense. L’intime se dresse comme un challenge. Chaque inconnu devient un sujet de Secret Story dont il faut dévoiler au plus vite les secrets au grand public. Nous sommes tous devenus des Julian Assange de la vie privé de nos contemporains, voire de la nôtre. Bref, Trevor Christensen est conscient de la force des photos de nu (parfois, raison même des vocations de photographes), mais surtout, c’est la dissonance entre le statut du photographe et du photographié qui l’interroge. Ce déséquilibre fondamental. Alors, pour rééquilibrer le tout, il a décidé de réalisé sa série Nude Portraits, où le sujet reste habillé et c’est lui, le photographe, qui se dévêt. Et ce que l’on lit dans l’œil du photographié (ou plutôt, ce que l’on projette) mérite vraiment quelques séances de psychanalyse.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Emmanuel Perrotin, figure emblématique du monde de l'art contemporain, a récemment conclu une transaction historique avec Colony Investment Management (Colony IM), un fonds d'investissement européen, en cédant une participation majoritaire de sa célèbre galerie.
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