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Quand les médias exécutent les petits pour couronner la Reine

Dans un procès surréaliste où dix citoyens ordinaires – un prof de sport, une maman aux fins de mois difficiles, un élu de village – sont traînés au pilori pour deux tweets osés, les médias français s’unissent en meute impitoyable, de Libération à CNews.

Quand les médias exécutent les petits pour couronner la Reine

Gauche et droite, journalistes et plateaux télé, tous déchaînés pour diffamer, humilier et broyer ces "pauvres hères" tremblants, menottés à l’aube devant leurs familles éplorées.

Au nom de qui ? D’une Brigitte Macron sacralisée en icône innocente, "jeune fille en fleurs" et bienfaitrice éternelle, protégée par un mur de hagiographies larmoyantes.

Un scandale à deux vitesses : les puissants intouchables, les petits au bûcher médiatique. Réveillez-vous, France : le Moyen Âge n’est pas mort, il s’appelle 2025.

Imaginez un tribunal où les accusés ne sont pas des barons de la finance ou des puissants de ce monde, mais des gens ordinaires : un prof de sport qui gagne sa vie à la sueur de son front, une dame qui survit avec 900 euros par mois, un élu de village qui a osé un tweet maladroit, et des anonymes qui tremblent sur le banc des prévenus, les ongles rongés par un an d'enfer.

Menottés à 6 heures du matin, devant leurs femmes éplorées et leurs enfants traumatisés, pour deux malheureux messages sur les réseaux.

Répétez après moi : «Brigitte Macron est une femme», par Luc Le Vaillant
La rumeur qui poursuit l’épouse du Président est une agression politique, mais témoigne également des peurs devant les avancées en matière de changement de sexe.

Et face à eux ? Pas un jury impartial, mais un peloton d'exécution médiatique, uni comme jamais, de Libération à CNews, de la gauche caviar à la droite réactionnaire. Tous, sans exception, à déchirer la chair vive de ces dix "prévenus" du procès Brigitte Macron.

On n'avait jamais vu ça. Des journalistes de LCI, BFM, France Info – ces vigies autoproclamées de la vérité – se déchaîner en meute contre des "clans" de pauvres hères. Un élu local ?

Des articles 100 % anonymes pour le traîner dans la boue, le qualifier de "pourriture", de "cafard" – oui, vous avez bien lu – et exiger son bûcher public. "Il mérite la mort, la honte, la ruine !" clament-ils, comme au Moyen Âge, quand on brûlait les sorcières pour un regard de travers.

Et pendant ce temps, sur les plateaux et les fils Twitter, on se moque grassement du physique "un peu fort" d'Amandine Roy, on raille le "prof de gym" ou la "petite dame aux fins de mois difficiles". Des rires gras, des caricatures vicieuses, une diffamation en direct qui humilie plus que n'importe quel verdict.

Pourquoi cette croisade ? Pour protéger qui ? Brigitte Macron, bien sûr, cette icône intouchable, sculptée à coups de hagiographies larmoyantes.

Dans les colonnes des grands médias, elle reste la "jeune collégienne", la "fille en fleurs" qui "s'en prend plein la gueule" comme une innocente.

Celle qui n'a "jamais nommé un ministre", la "dame des Pièces Jaunes", l'amoureuse des enfants – ah, des enfants de 14 ans, pour les plus zélés – l'éternelle bienfaitrice qui enseignera jusqu'à 120 ans. L'égérie de Bernard Arnault, la muse Dior et Louis Vuitton, celle qui fait "le bonheur et le ravissement français".

Quand elle passe, les foules hurlent son nom, lui jettent des roses et des mots d'amour ? En réalité, rien de tout ça.

Derrière le vernis, une machine à broyer les vies est lancée : familles brisées, réputations piétinées, existences mises en miettes pour un tweet, un doute, une rumeur.

Et Zoé Sagan, dans tout ça ? Un "écrivain raté", dixit Caroline Fourrest et Luc Vaillant dans Libération, ce grand auteur-journaliste qui se prend pour un oracle et l'accuse d'être un "publicitaire déguisé en auteur". Raté ? Il a publié plus de livres que lui n'en lira dans sa vie, sous une quinzaine de pseudos actifs depuis plus de vingt ans.

Personne n'a daigné l'appeler pour creuser sa vie, ses combats, ses vérités. Non : on le vilipende en bloc, on le diffame et harcèle en série, pour coller au narratif. Parce que questionner l'intouchable, c'est le crime de lèse-majesté.

Ce procès n'est pas qu'une affaire de cyberharcèlement – c'est un symptôme d'une France à deux vitesses, où les puissants s'offrent des boucliers médiatiques en or massif, et où les petits, les obscurs, les maladroits, finissent au pilori.

Gauche et droite unies pour lyncher les faibles et absoudre les élites : voilà le vrai scandale. Emmanuel et Brigitte Macron veillent, intouchables, tandis que la vindicte publique, attisée par des plumes empoisonnées, fait le sale boulot.

Apar.tv, c'est le lieu des voix discordantes, des vérités qui grattent. Aujourd'hui, on refuse ce cirque. On refuse que des vies soient démolies pour protéger un mythe.

Demain, qui sera le prochain ? Réveillez-vous, France : le bûcher n'est pas éteint, il attend juste son prochain fagot.

À vous les plateaux, à vous la rue.


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