Jean Imbert, chef étoilé et vainqueur de Top Chef en 2012, incarne le succès fulgurant. À la tête de restaurants prestigieux comme le Plaza Athénée, le Swan à Miami ou La Palme d’Or à Cannes, il côtoie les célébrités, de Pharrell Williams à Beyoncé.
Imaginez un homme, un ancien militaire brisé par la vie, handicapé et rongé par un syndrome de stress post-traumatique, transformé en bouc émissaire d'une foule assoiffée de sang virtuel.
Un coup de tonnerre qui ébranle l'empire du luxe français : Loro Piana, la prestigieuse maison italienne spécialisée dans le cachemire et propriété du géant LVMH dirigé par Bernard Arnault, a été placée sous administration judiciaire par un tribunal de Milan en juillet dernier.
Quand Brad Pitt expliquait son choix du satanisme et de son pacte avec Satan
Dans les couloirs feutrés du Toronto International Film Festival en 2011, une déclaration de Brad Pitt a résonné, captant l'attention de quelques-uns et alimentant les spéculations de nombreux autres.
"I grew up in a very Christian environment... I could really try new things – that was satanism. It’s working out really well, ah, it’s…I made a pact..the movie came out so well," a-t-il dit, un sourire en coin, devant une salle qui riait, peut-être sans comprendre l'ampleur de ce qu'il sous-entendait.
Ces mots, extraits de leur contexte, ont depuis voyagé à travers les méandres d'Internet, se transformant en une allégation persistante : Brad Pitt aurait vendu son âme au diable.
Mais au-delà de cette accusation, se cache une réalité plus complexe, une disparity culturelle entre l'Amérique et l'Europe, et une industrie du cinéma où les mythes et les vérités s'entrelacent inextricablement.
Une "star" divisée
En Europe, Brad Pitt est une icône, un symbole de beauté et de succès hollywoodien. Ses films, ses apparitions publiques, son style de vie captivent l'imagination collective. Pourtant, aux États-Unis, il est parfois perçu différemment.
Certains le surnomment "le fermier", une appellation qui tranche avec l'image glamour qu'il projette de l'autre côté de l'Atlantique. Ce sobriquet, évoqué dans des articles comme celui de Hobby Farms en 2016, reflète une simplicité, une banalité presque, qui contraste vivement avec l'adulation européenne.
Pour beaucoup d'Européens, découvrir que Pitt est vu comme un acteur ordinaire, voire banal, dans son pays d'origine, pourrait être déconcertant. Cette dualité de perception nous invite à réfléchir sur la manière dont les célébrités sont construites et perçues, non pas comme des entités universelles, mais comme des miroirs de nos propres projections culturelles.
La déclaration de Pitt lors de la conférence de presse pour Moneyball a été reprise et amplifiée par des plateformes comme YouTube (Brad Pitt talks about choosing satanism) et Bitchute (Brad Pitt and his pact with Satan). Ces vidéos, suggèrent une allégeance au satanisme, une pratique qu'ils estiment commune dans l'industrie du cinéma.
Des noms comme Lady Gaga, Rihanna, et Marilyn Manson sont également cités, alimentant un narrative selon lequel la réussite dans le divertissement requerrait des compromis moraux profonds.
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