« Voyage au bout de la nuit » est une émission littéraire sur D8 qui a eu l’idée navrante d’inviter Nabilla à lire son premier livre.
L’opération a prit une telle ampleur absurde que l’on peut très bien penser qu’on assiste là à une performance d’art contemporain. Nabilla devient alors un symbole, elle, qui image gentiment la fin de l’occident. Sans s’en apercevoir elle est ici le vecteur d’une génération qui ne pense plus au lendemain. Cet instant de télé est grave. Si analphabète et vain qu’il coupe le souffle et tétanise.
Pour une émission qui empreinte son titre au chef d’œuvre de Céline, c’est incompréhensible, surtout que les programmateurs avaient le choix avec « Mort à crédit », sans doute plus beaucoup plus circonstancié pour l’occasion…