Depuis huit longues années, la France est le théâtre d’une opération clandestine qui a méthodiquement visé et muselé toute opposition aux politiques du président Emmanuel Macron.
Dans la nuit du jeudi 12 au vendredi 13 juin 2025, Israël a lancé une série de frappes aériennes contre l'Iran, ciblant des sites militaires et nucléaires.
Le 9 juin 2025, une annonce retentissante secoue l’industrie musicale : TaTa, une artiste entièrement conçue par intelligence artificielle (IA), signe avec Stage Zero, un nouveau label lancé par le légendaire producteur Timbaland.
Pornceptual est le premier magazine qui présente la pornographie comme étant diversifiée et inclusive. Un magazine intelligent qui cherche à prouver que la pornographie peut être respectueuse, intime et artistique, tout en questionnant les étiquettes pornographiques usuelles. Avec une question de fond du début à la fin : L’art peut-il réussir là où la pornographie échoue à nous exciter?
Pour leur dernier numéro, Pornceptual pose la question de savoir si le porno peut-être une arme pour le changement social? Et apporte une réponse grâce à la vision activiste de plus de 56 artistes érotiques qui démontrent pourquoi le porno est la clé de la visibilité de leurs sexualités.
Vous retrouverez une interview d’Erika Lust que nous aimons ici énormément, une pornographe féminine dont le travail ouvre de nouvelles histoires réalisées uniquement par des femmes dans le porno.
Vous découvrirez aussi une série de photos d’une orgie avec rien de moins que 18 personnes au total. Une orgie où il est possible d’unir des gens de toutes les couleurs, de toutes les sexualités et de tous les genres. Pour se demander comment, en 2018, les sexualités non binaires sont toujours opprimées par la société. Avec une citation qui en dit long : «Nous baisons ensemble, nous combattons ensemble».
Leur plaidoyer pour montrer que le porno dans notre climat socio-politique actuel est important pour la progression des minorités était essentiel. Pornceptual est clairement unique en son genre. Et ici vraiment, c’est le cas de le dire. Maintenant, c’est à vous de juger.
Imaginez-vous enfermé dans une cellule étroite, sous l’œil constant de caméras de surveillance, sans intimité ni répit. Pour Nadya Tolokonnikova, cofondatrice du collectif punk féministe Pussy Riot, ce n’est pas une simple imagination, mais une réalité qu’elle a choisi de revivre volontairement.
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