Maggie Steber, photographe documentaire, éditrice de photos de renommée internationale, explore son côté obscur autoproclamé dans «Le jardin secret de Lily LaPalma». La série photographique fait l’objet d’une exposition à la galerie du Leica Store San Franciscode puis le 7 Mars 2018.
Une rupture frappante avec son esthétique documentaire bien connue puisque cette série, documente le subconscient et l’imagination de Steber dans des photographies capturées par son alter-ego, Lily LaPalma.
Steber dit que la série a été réalisée « dans l’ombre du côté obscur » de sa psyché qu’elle a choisi de revisiter. Les photographies, explique-t-elle, révèlent ses «peurs et ses souvenirs personnels. Les images improvisées ne sont pas destinées à se perfectionner parce que «la réalité n’est pas parfaite», dit Steber, «c’est désordonné et l’imperfection de ces moments spontanés reflète ce que je suis. après. »
Le Jardin, lieu de danger et de beauté, est l’endroit où Steber se sent libre de laisser libre cours à son «esprit créatif animal» et se rebelle joyeusement contre la «tyrannie de la photographie documentaire» qui la définit depuis des décennies.