Coloré et surfant sur la culture contemporaine, on pourrait être tenté de rapprocher l’art de Lora Zombie du travail d’artiste tel que Fab Ciraolo, mais la contestation chez elle ne se cache pas derrière des concepts intellectuels comme aiment à le faire les descendants de la Factory.
Chez Lora Zombie, la contestation est à fleur de peau, évidente. Une influence manga, une conscience politique forte et la couleur exubérante des gens libérés du poids de l’espoir. Comme le criait Camus, « il n’y a pas d’amour de vivre sans désespoir de vivre. »