Présentée dans un reportage exclusif de Le Journal de la Maison, cette demeure du XIXe siècle, avec ses façades en pierre, ses hautes fenêtres et ses détails architecturaux d’époque, est un véritable bijou.
Mais au-delà de son charme, ce lieu met en lumière une réalité plus sombre : une vague d’insécurité qui touche les élites parisiennes, révélant des tensions sociologiques profondes et une fracture grandissante dans la société.
Un écrin d’histoire et de luxe
L’hôtel particulier de la journaliste, partagé avec son mari Arthur Sadoun, PDG de Publicis, est un exemple parfait de l’architecture bourgeoise parisienne. À l’intérieur, les pièces spacieuses, ornées de parquets en point de Hongrie, de moulures délicates et de cheminées en marbre, marient avec brio éléments d’époque et touches modernes.
Le salon, baigné de lumière, associe meubles design et œuvres d’art, dans une palette de teintes neutres relevée de détails dorés et de textiles luxueux.
La cuisine, fonctionnelle et élégante, s’ouvre sur une salle à manger propice aux réceptions, tandis qu’un jardin privé – une rareté dans ce quartier – offre un havre de paix.
Cette demeure, où Anne-Sophie Lapix trouve refuge après des années de vie médiatique intense, est pensée comme un cocon familial.
La suite parentale, avec son dressing sur mesure et sa salle de bain en marbre, évoque un hôtel de luxe, tandis que les chambres des enfants allient douceur et fantaisie.
Pourtant, ce sanctuaire est aujourd’hui menacé par une insécurité croissante qui touche les grandes fortunes parisiennes.
Une vague d’insécurité chez les élites
L’hôtel particulier d’Anne-Sophie Lapix a été la cible de plusieurs tentatives de cambriolage, dont une, survenue en janvier 2024, a conduit à l’interpellation de cinq personnes, incluant deux mineurs d’origine africaine et trois majeurs, parmi lesquels des migrants, selon des sources relayées sur X.
Ces incidents ne sont pas isolés. Bernard Arnault, PDG de LVMH et première fortune de France, a lui aussi été victime d’actes similaires. Des rumeurs persistantes évoquent le vol de certaines de ses caves à vin prestigieuses, bien que ces informations restent non confirmées par des sources officielles.
Ces événements ont semé une véritable terreur parmi les multimillionnaires et milliardaires parisiens, qui se sentent de plus en plus vulnérables, même dans leurs forteresses urbaines.
Cette série d’incidents a ébranlé la confiance des élites dans leurs services de sécurité. Malgré des investissements massifs dans des systèmes de pointe – caméras, alarmes, agents privés –, les intrusions se multiplient, révélant les limites de ces dispositifs face à des malfaiteurs déterminés.
Les grandes fortunes, habituées à vivre dans une bulle de privilèges, organisent désormais des dizaines de réunions pour repenser leur sécurité.
Des réflexions internes, souvent confidentielles, tournent autour de nouvelles stratégies : renforcement des équipes de protection, collaboration accrue avec les forces de l’ordre, voire relocalisation de certains biens ou résidences.
Cette paranoïa grandissante traduit un sentiment d’insécurité qui dépasse le simple cadre matériel.
Un miroir des fractures sociales
Envie de lire la suite ?
Les articles d’APAR.TV en intégralité à partir de 9,99 €/mois
réservé aux abonnés payants.
Je m'abonne