La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Le « Paris Bashing » est en vogue en ce moment. Partout, même dans la capitale française. Pour les uns c’est légitime, puisque la nuit parisienne est morte, les boutiques de fringues ont remplacé toutes les librairies et le prix du mètre carré vaut plus cher que la vente d’un de vos organes sur le marché noir, et pour les autres c’est une illusion d’optique puisque dans les bas fond se prépare une révolution de la jeunesse pour l’instant silencieuse et invisible… Bref, les artistes français sont obligés de se coller au sujet. Et le dernier tour de force a été commandité par la Red Bull Music Academy, parce qu’effectivement, sans les marques aujourd’hui, énormément de réalisateurs n’arriveraient pas à trouver le financement pour tourner leurs films. L’idée ici ? Sortir une série de courts-métrages [Paris Now!] montrant Paris autrement sous l’œil de 5 réalisateurs dont le brillant et créatif Quentin Dupieux/Mr. Oizo, ainsi que Dexter Navy, Romain Cieutat, Anne Horel et Julien + Adrien. Des contenus de marques malins, bien produits qui n’arriveront malheureusement pas même au million de vues, parce qu’il manque un supplément d’âme. Un territoire sans directeurs de créations, sans annonceurs, sans producteurs soucieux de conserver 15% de marge sur le budget initial, tout en expliquant aux intervenants que « c’est un très petit budget, que c’est pour la bonne cause, qu’il faut faire un effort, et que je te rappellerais pour te mettre sur une pub bien payée, ne t’inquiète pas, la prochaine fois, si prochaine fois il y a. » Ils aurait tous voulu être les nouveaux punks, les nouveaux rois de l’underground parisien, mais non, au fond, tout le monde sait que c’est une marque de soda énergisant qui paye la note, alors il fallait garder leur rythme, celui de l’image de marque, de la notoriété. Et ça se voit malgré tout. Notre coup de cœur va tout de même pour le film de Quentin Dupieux, le seul qui sort vraiment son épine du jeu, en arrivant encore à être cool, parce que c’est le seul qui a su conserver le rythme. Et être cool c’est avoir simplement le sens du tempo. Vous allez ci-dessous comprendre pourquoi…
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.