La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Le 8 avril prochain sortira en salle le premier long-métrage de l’acteur Ryan Gosling. Dernièrement à l’affiche de Blue Valentine, Drive ou encore Only God forgives, il a par ailleurs été convié par le grand, le maître, le maestro Terrence Malick, au tournage de son prochain film. Au casting de sa première réalisation – dans la sélection un certain regard lors du dernier festival de Cannes -, on note le prestige et l’audace : Christina Henricsks, la vamp rétro et voluptueuse de la série Mad men, Reda Kateb, l’un de nos acteurs les plus exigeants, Eva Mendes, Matt Smith et j’en passe. Après avoir imposé son nom, sa dégaine et son air de bad boy muet sur les écrans du monde entier et sous la direction des plus grands, Ryan Gosling saute donc le pas et passe derrière la caméra. Images stylisées, plans travaillés de près, l’acteur semble avoir retenu les leçons de tous les cinéastes auxquels il a un temps prêté ses talents d’acteur. On lit notamment, dans la bande-annonce, l’influence marquée du réalisateur de Drive, Nicolas Winding Refn, par la retenue silencieuse et brute du style, cette forme de violence contenue et soulignée en contraste par des images aux lumières chaudes, aux couleurs prononcées, souvent très esthétisantes ; par le rôle majeur de la bande son, la profondeur non suggestive des personnages et l’expression, en sous-jacence, d’une prégnante solitude. Si rien n’est signé quant à l’absolue qualité du film, tous ces éléments réunis en font quoi qu’il en soit un lieu de curiosité et un objet intéressant. A voir !
Lost River, de Ryan Gosling avec Christina Henricsks, Reda Kateb, Eva Mendes, en salles le 8 avril prochain.
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