La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Michal Koren Baratz est un nom qui sonnera creux pour bon nombre de nos lecteurs français, loin d’être une inconnue pour d’autres, notamment en Israel, car c’est d’ici que vient cette femme. Cette jeune artiste a mis un certain temps avant de se trouver et de faire un choix. Il lui aura fallu une rencontre avec un objet particulier, et quelques années avant de trouver « sa voie ». Attirée un temps par le photo-journalisme sans jamais pouvoir s’y résoudre, elle a préféré créer et transformer des images plutôt que simplement les capturer. Abasourdie par l’imagerie religieuse catholique, la jeune femme cherche un moyen d’accorder son œil à sa quête artistique. C’est le point de départ d’une série splendide. Un hommage aux femmes inconnues de la bible et à leur histoire, visuellement impressionnant et surtout très vivant. En re-créant des scènes oubliées ou méconnues (dont les femmes sont belles et bien les tristes) Michal Koren Baratz offre des tableaux-photos dont la lumière et la précision n’auraient presque rien à envier aux plus grands peintres du clair-obscur. Quelque part entre la renaissance italienne du Caravage et les plus sombres Rembrandt, ses œuvres créent une sensation étrange au premier abord. Loin de tout ce que la jeune génération produit comme tentatives de reproductions ou de détournements de grandes toiles comme le souhaite l’air du temps. L’artiste s’inscrit dans une démarche inverse de ces faussaires-chercheurs de clics, pour faire perdurer l’art des grand maitres avec des techniques modernes, et surtout approfondit la connaissance en touchant du doigt des territoires inconnus. Comme de véritables illustrations de passages méconnus de la Bible, elle sert les propos et leur donne une lecture contemporaine sans en changer le sens. Une sortie de l’ignorance imagée et visuelle, comme celle qu’elle aura certainement vécue lorsque l’idée lui est apparue. Un hasard qui n’en est pas un, un jour de ménage chez sa grand-mère, elle rencontre un livre d’images sur les femmes dans la Bible, et l’envie de savoir, de comprendre. Sa rencontre avec Delilah, Bethsabée, Deborah, les filles de Tselophchad ou celles de Lot, qui ont été séquestrées dans une grotte avec leur père dont chacune enfantera un fils. Michal Koren Baratz a fait sortir ces femmes de leur caverne en inventant son propre chemin, en s’interrogeant sur sa propre existence, et en trouvant ses propres réponses. La naissance d’une œuvre par la résurrection d’une autre. Le monde des idées confronté aux mystères de la création. L’allégorie de La Caverne de Platon entre en résonance avec le parcours de la jeune femme qui a réussi à faire cohabiter la trinité des plus grands artistes, philosophie, art et religion.
Co-fondatrice d’APAR.TV et productrice. Elle conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout
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