La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
En mer du Nord et en Baltique, les Alliés ont volontairement coulé des navires transportant près de trois milliards de tonnes d’armes, chimiques et conventionnelles, produites lors de la Première et de la Seconde Guerres mondiales.
Aujourd’hui, ces déversements restent méconnus mais les conséquences environnementales sont graves. Les barils qui les confinent mettent entre 80 et 100 ans à rouiller : ils commencent actuellement à diffuser leur poison dans la mer. Il suffirait que 16 % des substances s’échappent pour éradiquer toute forme de vie pendant des siècles. Les scientifiques prédisent une catastrophe sans précédent… En Europe, la France est le pays le plus touché pour la période 1914-1918 ; et l’Allemagne pour la période 1939-1945. Entre ces deux pays, les fonds marins qui longent le littoral belge forment un vaste tapis de bombes toxiques. Alors que les autres pays européens et la Russie commencent à communiquer, pour échapper au cauchemar, la France refuse de lever le secret défense. Pourquoi et comment cette décision a-t-elle été prise ? Comment éviter la catastrophe ?
En mer du Nord et en Baltique, les Alliés ont volontairement coulé des navires transportant près de trois milliards de tonnes d’armes, chimiques et conventionnelles, produites lors de la Première et de la Seconde Guerres mondiales.
Aujourd’hui, ces déversements restent méconnus mais les conséquences environnementales sont graves. Les barils qui les confinent mettent entre 80 et 100 ans à rouiller : ils commencent actuellement à diffuser leur poison dans la mer. Il suffirait que 16 % des substances s’échappent pour éradiquer toute forme de vie pendant des siècles. Les scientifiques prédisent une catastrophe sans précédent… En Europe, la France est le pays le plus touché pour la période 1914-1918 ; et l’Allemagne pour la période 1939-1945. Entre ces deux pays, les fonds marins qui longent le littoral belge forment un vaste tapis de bombes toxiques. Alors que les autres pays européens et la Russie commencent à communiquer, pour échapper au cauchemar, la France refuse de lever le secret défense. Pourquoi et comment cette décision a-t-elle été prise ? Comment éviter la catastrophe ?
D’autant plus qu’il semble que certains médias semblent s’en inquiéter.
Actu.fr a publié le 31 Mai 2022 : « Des décharges d’armes chimiques au large des côtes françaises : une « bombe à retardement » »
Des décharges marines d’armes parfois chimiques polluent les océans depuis un siècle. Le risque de destruction de toute vie est réel. L’État oppose le « secret-défense ».
En France, 62 décharges maritimes d’armes ont été recensées le long de la Manche et des côtes Atlantique. Et ce n’est qu’une estimation.
La Convention du milieu marin Ospar a recensé 148 décharges dans le nord-est de l’océan Atlantique.
Rien qu’en mer Baltique, Ospar estime qu’il y a environ 40 000 tonnes d’armes immergées.
En mer du Nord, l’estimation porte sur 300 000 tonnes d’armes. Combien le long des côtes françaises ? Impossible à définir. « Je n’ai pas d’estimation, mais c’est sans doute du même ordre de grandeur pour la façade Atlantique et en Méditerranée. C’est considérable ! Ce problème est mis sous le paillasson et va finir par péter », prévient Charlotte Nithart de l’association environnementale Robin des bois qui bénéficie du statut d’observateur à la convention Ospar. Pour Charlotte Nithart, « plus on attend, plus ces munitions se disloquent et plus le problème est imminent : contaminations de la chaîne alimentaire, des sédiments, des eaux de baignade… »
La crainte des scientifiques et associations est que « ces armes conventionnelles ou chimiques, rongées par la corrosion, [libèrent] dans l’eau des substances nocives telles que le plomb, mercure, gaz et liquides toxiques, nitrates ou phosphore » et « sans action de dépollution, des scientifiques prédisent un désastre environnemental », insiste Sea Shepherd.
Politologue franco-américaine, spécialiste de la société américaine et des relations franco-américaines. Mon travail et mes personnages sont considérés comme des antidotes aux algorithmes. Je veux déc
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