Photos disparues, témoignages explosifs, et une justice qui ferme les yeux sur l'essentiel. Derrière le glamour présidentiel se cache peut-être le plus grand mensonge de l'histoire française – et si Emmanuel était la marionnette d'un chantage international ?
Imaginez un monde où l'Occident, aveuglé par ses propres illusions, court vers un effondrement inévitable. Dans une vidéo choc, l'ex-diplomate Alastair Crooke lâche une bombe : « La guerre était perdue, point final ! » Il décrypte comment les "récits gagnants" masquent une réalité brutale.
Dans les brumes automnales de 2025, la France murmure ses préparatifs secrets, un guide de survie prêt à être distribué comme un oracle antique, prévoyant un « engagement majeur » qui va ébranler les fondations de la paix fragile, transformant les hôpitaux en sanctuaires pour les blessures à venir.
On est bien loin ici des paradis artificiels de Baudelaire. Il faut oublier toute forme de poésie romantique. En même temps, maintenant que le dealer de Jacques Chirac a raconté dans un livre qu’il lui livrait un caillou de cent grammes par semaine de cocaïne pure, plus rien ne peut étonner sous la merveilleuse cinquième république.
Ce zapping de la défonce est en quelque sorte une forme de performance en soi. Une métaphore sur l’état de la France.
Dans l’une des vidéos le président n’arrive même plus à articuler, il a l’œil vitreux, complétement déboité, comme une impression d’un remake de Trainspotting (pour ne pas dire de Kétamine) à la française.
Une descente au enfer, tellement défoncé, que même le dealer des stars, Gérard Fauré, ne sait pas d’où vient le produit.
Ici il faut comprendre la technique du toucher. On doit cette expérience datant de 1985 à Goldman, Kiyohara et Pfannensteil.
L’expérience se déroule à Kansas City et les sujets sont des étudiants venus travailler à la bibliothèque universitaire. Ils étaient arrêtés dans le hall par un expérimentateur qui leur demandait où était le bâtiment des sciences. Une fois sur deux l’expérimentateur touchait les étudiants.
Bien évidemment, touchés ou pas, les étudiants donnaient volontiers l’information à l’expérimentateur. L’effet du « toucher »: technique de manipulation était attendu sur un comportement ultérieur nettement plus coûteux et qui n’a rien à voir avec la requête précédente.
Le premier expérimentateur disparu, un autre entrait et demandait aux étudiants de bien vouloir consacrer un peu de temps à une cause charitable qu’il formulait comme suit :
« Bonjour, je suis en train d’établir une liste de personnes qui serait d’accort pour donner deux heures de leur temps le mois prochain. Il s’agit d’assurer une permanence téléphonique pour des enfants handicapés. Seriez-vous d’accord ? »
(Pour éviter de biaiser les résultats, ce second expérimentateur n’a aucune idée de qui a été préalablement soumis à la technique de manipulation par le toucher ; il se contente de formuler sa requête et de noter qui accepte et qui refuse sa demande.)
Les résultats sont pourtant parlants :
40 % des personnes préalablement touchées par le premier expérimentateur acceptent la requête très coûteuse du second 5 % des personnes non touchées de façon préalable acceptent la requête très coûteuse du second
Une fois de plus le toucher augmente l’efficacité de la manipulation.
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