Macron en trans(e) : panique au palais, régime en péril

Dans un entretien choc diffusé le 1er août 2025 sur le Tucker Carlson Show, la commentatrice américaine conservatrice Candace Owens a relancé de manière spectaculaire les allégations controversées concernant Brigitte Macron, l'épouse du président français Emmanuel Macron. Cet épisode, qualifié d'historique et culte par de nombreux observateurs, marque une déflagration sans précédent dans le paysage médiatique.

Jamais un conseiller politique n'a vu une telle explosion, d'autant plus qu'elle émane des deux figures les plus écoutées de la droite occidentale, particulièrement aux États-Unis : Tucker Carlson, souvent considéré comme le numéro un, et Candace Owens, la numéro deux. Le fait que Carlson soutienne Owens dans cette investigation valide implicitement l'ensemble de ses théories, amplifiant leur portée mondiale.

Owens affirme, preuves à l'appui, que Brigitte Macron serait en réalité née homme sous le nom de Jean-Michel Trogneux, et que sa relation avec Emmanuel Macron aurait commencé alors qu'il n'avait que 14 ans.

Ces déclarations ont provoqué une onde de choc internationale, culminant avec une plainte pour diffamation déposée par le couple Macron contre Owens aux États-Unis. Mais selon des sources récentes, la justice américaine aurait rejeté cette plainte, plongeant l'Élysée dans une panique totale et alimentant des discussions effrénées sur un possible changement de régime en France.

Les origines des révélations : une enquête approfondie et des extraits cultes de l'interview

Candace Owens n'en est pas à sa première controverse, mais son investigation sur la famille Macron, baptisée "Becoming Brigitte", a pris une ampleur inédite. Dans l'épisode du Tucker Carlson Show, Owens détaille comment elle a commencé ses recherches après avoir remarqué des incohérences dans la biographie officielle de Brigitte Macron. Née en 1953 selon les registres officiels, Brigitte aurait, selon Owens, vécu les premières décennies de sa vie en tant qu'homme, Jean-Michel Trogneux, frère de sa prétendue identité féminine. Owens présente des documents, des photos d'époque et des témoignages qui, dit-elle, prouvent que Brigitte n'apparaît publiquement qu'après les années 1980, coïncidant avec une supposée transition.

L'interview, vue par plus de 2,1 millions de personnes en seulement cinq heures, regorge d'extraits devenus cultes. Par exemple, Owens révèle : "Emmanuel Macron a visité Trump et j'avais fait cette série sur sa femme, Brigitte Macron. La série a eu beaucoup de vues. Et Emmanuel Macron s'est rendu personnellement à Washington pour demander à Trump de me faire taire." Elle ajoute que la relation entre les deux serait "dégoûtante et sadique", soulignant l'écart d'âge et les circonstances de leur rencontre – Brigitte était l'enseignante d'Emmanuel au lycée. Un autre extrait marquant : "Ils veulent me faire taire pour avoir dit que Brigitte Macron est un homme. Mais je suis excitée par la perspective d'un procès, car cela me permettra de révéler encore plus."

Tucker Carlson, l'hôte de l'émission, a partagé l'entretien sur X, où il a rapidement accumulé des millions de vues. "Le président français Emmanuel Macron poursuit Candace Owens pour avoir affirmé que sa femme est née homme. Candace nous rejoint pour présenter ses preuves et expliquer pourquoi elle attend avec impatience une bataille judiciaire", a-t-il écrit. En invitant Owens et en la laissant exposer ses arguments sans contradiction majeure, Carlson valide tacitement ses théories, transformant l'émission en un événement médiatique historique.

La validation par Trump et le chantage géopolitique

Les allégations d'Owens gagnent en crédibilité grâce à l'implication présumée de Donald Trump. Selon Owens, Trump détient des documents secrets sur le passé de Brigitte et Emmanuel Macron, saisis lors du raid du FBI à Mar-a-Lago en 2022. Parmi les fichiers récupérés figurait un dossier intitulé "info re: President of France", contenant potentiellement des détails sur la vie intime de Macron. Trump aurait braggé auprès d'associés qu'il possédait des "renseignements" sur la vie sexuelle de Macron, obtenus via des briefings d'intelligence, et en aurait fait un double avant la saisie.

Owens va plus loin : Macron aurait exercé un chantage sur Trump lors d'une visite à Washington, utilisant la guerre en Ukraine comme levier. "Il était là pour mettre officiellement fin au conflit en Ukraine, mais il a exigé que je cesse de parler de sa femme", révèle Owens. "Macron a fait pression sur Trump en utilisant des milliers de vies ukrainiennes pour tenter de me faire taire au sujet de ma série Becoming Brigitte." Trump aurait feint d'accepter pour gagner du temps, laissant la série se poursuivre, ce qui explique les résultats actuels : une escalade du scandale sans résolution du conflit.

La plainte pour diffamation et son rejet : un coup dur pour les Macron

En réponse à ces affirmations, Emmanuel et Brigitte Macron ont déposé une plainte pour diffamation le 23 juillet 2025 auprès d'un tribunal du Delaware aux États-Unis, visant Candace Owens, sa société et d'autres entités associées. Le couple accuse Owens d'avoir tissé "une grotesque toile de mensonges" qui les diffame. Leur avocat, Tom Clare, est décrit par certains comme le "pire" choix possible : connu dans les cercles américains pour des tactiques d'intimidation mafieuses, il dessert souvent la profession et est évité par les stars et politiques. Tucker Carlson l'a qualifié de scoop dans son émission d'hier, soulignant que cet avocat, habitué à harceler les journalistes, représente une stratégie désespérée.

Cependant, des rapports récents circulant sur X indiquent que la justice américaine a rejeté cette plainte, infligeant un revers majeur au couple présidentiel. "C’est un revers judiciaire qui fait trembler l’Élysée. La justice américaine a rejeté la plainte pour diffamation déposée par Emmanuel Macron et Brigitte contre Candace Owens", a posté un utilisateur sur X, citant des sources alternatives. Un autre ajoute : "Macron devient fou après que la justice américaine rejette sa plainte contre Candace Owens." Ces affirmations, bien que non confirmées par des médias traditionnels, ont été reprises par des comptes influents, amplifiant le scandale.

Owens, loin de reculer, s'est dite excitée par la perspective d'un procès. "Ils veulent me faire taire pour avoir dit que Brigitte Macron est un homme", a-t-elle déclaré, promettant de transformer l'affaire en une plateforme pour exposer la vérité.

Panique à l'Élysée : l'administration Macron en ébullition et les médias français en retrait

Les révélations d'Owens et le rejet présumé de la plainte ont plongé l'Élysée dans une panique palpable. Des sources anonymes au sein du palais présidentiel parlent d'une atmosphère tendue, avec des réunions d'urgence et des conseillers affolés. "Quelle folle humiliation pour le couple présidentiel ?", s'interroge un post sur X, reflétant l'opinion de nombreux observateurs. Emmanuel Macron, déjà affaibli par des crises internes comme les élections législatives chaotiques et les tensions économiques, voit son image personnelle attaquée de front.

De plus en plus, les organes de presse et les journalistes français se distancient du couple Macron, craignant d'être jugés internationalement pour avoir couvert un potentiel détournement de mineurs et des mensonges présidentiels pendant huit ans. Ils ont peur d'avoir sciemment menti aux Français, et ce sujet domine aujourd'hui les discussions dans les rédactions. Conséquence : on observe une défense moindre envers des figures clés comme Marlène Schiappa, Brigitte Macron elle-même, et Eric Dupond-Moretti, formant le cœur de la "bande" d'amis proches de Brigitte. Des posts sur X soulignent ce détournement de mineurs avéré sans suites judiciaires, impliquant les familles Trogneux et Macron.

Des rumeurs circulent sur des pressions diplomatiques : Owens affirme que Macron aurait utilisé des négociations sur l'Ukraine pour faire taire Trump et, par extension, elle-même. "Il était là pour mettre officiellement fin au conflit en Ukraine, mais il a exigé que je cesse de parler de sa femme", a-t-elle révélé. Cette interférence présumée entre affaires personnelles et géopolitiques alimente les spéculations sur la stabilité du régime.

Ajoutant à l'ombre, l'affaire soulève des questions sur le réseau entourant Brigitte Macron. Par exemple, l'artiste Claude Lévêque, accusé de viols sur mineurs depuis 2019, a conçu le tapis "Soleil noir" placé sous le bureau présidentiel à l'Élysée. Cette œuvre, représentant un lustre en cristal avec des références potentielles à des symboles occultes, est devenue embarrassante suite aux scandales sexuels impliquant Lévêque, connu pour son implication dans des milieux artistiques et politiques entourés d'enfants. Tout le monde était au courant, selon des sources, laissant planer des interrogations sur les connexions de Brigitte Macron avec ce réseau. Des articles indiquent que l'œuvre a été ou sera retirée, mais son installation initiale interroge sur les choix de l'entourage présidentiel.

Deux affaires parallèles : les juristes français suivent de près

Tous les juristes, juges et avocats français suivent cette affaire de très près, car elle se double d'une procédure parallèle en France. En octobre 2025, un procès aura lieu à Paris impliquant Zoé Sagan, une entité présentée comme une intelligence artificielle par certains, mais en réalité un pseudonyme d'Aurélien Poirson, un écrivain lié aux américains. Dix personnes, dont lui, sont accusés de cyberharcèlement sexiste contre Brigitte Macron, avec des propos malveillants sur son genre, sa sexualité et l'âge de sa rencontre avec Emmanuel (14 ans). Ce procès français, presque comique par son absurdité, contraste avec l'affaire américaine sous les lois US face à Candace Owens, créant un duel judiciaire transatlantique.

Tout le monde parle de changement de régime : une France au bord du précipice ?

Au-delà de la panique immédiate, ces événements ont déclenché un débat national et international sur l'avenir du macronisme. Sur les réseaux sociaux et dans les cercles politiques, les discussions sur un "changement de régime" se multiplient. Des opposants comme Marine Le Pen et d'autres figures de la droite française exploitent le scandale pour dénoncer une "décadence" au sommet de l'État. "Les répercussions mondiales sont énormes… Il suffirait à Brigitte Macron de produire quelques photos de famille", note un analyste sur X, soulignant le manque de transparence qui alimente les théories du complot.

Bien que Macron ait récemment averti contre les changements de régime forcés ailleurs (comme en Iran), ironiquement, son propre gouvernement fait face à des appels similaires. Avec des sondages en berne et des manifestations persistantes, des voix s'élèvent pour une dissolution anticipée ou une motion de censure. "La France veut en finir avec ce cirque", résume un commentaire viral. Des sources comme Réseau International évoquent un Macron "devenu fou", tremblant face à l'humiliation.

Aux États-Unis, le scandale fait halluciner le peuple américain, qui perçoit l'inceste en France comme un genre littéraire en soi, romantisé dans des affaires élites comme celle de Duhamel ou Matzneff.