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Vicky Mather a signé « Stanley Pickle » un court métrage d’animation remarquable primé dans de nombreux festivals. Le pitch est simple : Stanley a 20 ans et ne sort pourtant jamais de sa maison. Il vit dans un monde enfantin parfait ou tout est mécanisé. Jusqu’au jour ou la rencontre d’une fille mystérieuse va bouleverser sa vie. La métaphore du film est puissante, pour ne pas affronter la mort de ses parents et ainsi rester dans une forme de déni, Stanley mécanise son quotidien. Il a choisit de transformer ses parents morts en automate. Mais la vie va l’amener à devoir quitter sa fiction pour rentrer dans la réalité. La réalisatrice a tourné ce film en stop motion (en seulement trois semaines) en prises de vues réelles pour son projet de fin d’études à la National Film and Television School (Angleterre). Le design sonore est incroyable, les décors d’une richesse à couper le souffle et la fluidité des images spectaculaire. « Stanley Pickle » est vous l’aurez compris un pur bijou cinématographique à découvrir Samedi 16 Avril dans “Mickrociné” sur Canal+ Cinéma !
>>Quelles ont été tes sources d’inspiration pour tourner Stanley Pickle ?
Il y en a eu beaucoup. Je viens du monde de la photographie, du design et de l’illustration, j’ai donc dû faire beaucoup de recherches, en particulier pour la direction artistique. J’ai commencé par expérimenter la technique de « pixilation » à l’université. Je ne savais pas ce que je faisais, mais c’était un moyen d’expression très naturel pour moi.
>>Pourquoi avoir choisi l’animation ? Est-ce que cela donne plus de force à la narration?
Je voulais faire un film audacieux, avec un vrai challenge technique et une direction artistique très affirmée. Et je voulais que tout ça soit à l’appui d’une narration claire et sincère. La technique de Pixilation (animer des personnes plutôt que des poupées) collait parfaitement au scénario. Du coup, Stanley Pickle trouve un bel équilibre entre la modernité et la nostalgie. On a tourné le tout avec un appareil photo (Canon 40D) et le logiciel Dragon Stop Motion.
>>Comment avez-vous construit l’étrange personnage de Stanley ?
Il n’est pas si bizarre. C’est un amalgame entre moi et le scénariste Orhan Boztas. Il y a cette scène à la fin, où Stanley regarde la dégénérescence de ses parents et leur mort, en fait c’est moi assis à table avec mes parents, les regardant vieillir et… s’affaiblir. Je ne pense pas que je sois le seul concerné, c’est un événement de la vie. Pendant le casting, c’est Drew Caiden qui a passé la première audition pour le rôle de Stanley. Il était tellement bon que je l’ai accidentellement appelé Stanley quand il est parti. A ce moment-là, je crois qu’il avait compris qu’il avait le rôle. Drew a réalisé un sans-faute dans le rôle de Stanley Pickle, je n’aurais pas pu trouver un acteur qui convenait mieux pour le rôle.
>>On a rarement vu un court-métrage décrocher autant de récompenses dans les festivals, vous devez crouler sous les projets et les propositions depuis ? Pouvez-vous nous parler de votre prochain film ?
J’ai pas mal de casseroles sur le feu à Blin Ink, qui me représente en Grande Bretagne. Sinon, il y a un ou deux projets qui m’inspirent, mais je ne peux pas vraiment en parler pour le moment. Mais gardez les yeux bien ouverts.
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