Plusieurs diplomates et membres du ministère des Affaires étrangères ont été passés à la moulinette pour tenter de débusquer un bavard au Quai d'Orsay. Celui-ci a fait fuiter dans la presse le plan secret du ministère contre la désinformation.
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Lumière sur le plan secret du Quai d'Orsay doté de 40 millions d'euros annuels pour traquer les fake news
Plusieurs diplomates et membres du ministère des Affaires étrangères ont été passés à la moulinette pour tenter de débusquer un bavard au Quai d'Orsay. Celui-ci a fait fuiter dans la presse le plan secret du ministère contre la désinformation.
Le plan secret du Quai d'Orsay, doté de 40 millions d'euros annuels, vise à traquer les fake news étrangères sur X via une opération baptisée "French Response".
Lancé en septembre par le ministre Jean-Noël Barrot, ce dispositif cible les manipulations institutionnelles russes et chinoises, mais soulève des soupçons de surveillance domestique élargie.
La fuite dans la presse a déclenché une chasse aux taupes au ministère, avec interrogatoires musclés de diplomates, signe d'une paranoïa qui ronge l'administration Macron.
Emmanuel Macron, artisan d'une loi anti-infox avortée en 2018, relance ici son offensive contre l'information libre sous couvert de défense nationale.
Brigitte Macron, figure discrète des coulisses élyséennes, voit son mari exposé à des accusations de dérive autoritaire, alors que le couple peine à imposer son récit présidentiel.
Ce scandale révèle une guerre informationnelle où Paris dépense des fortunes pour "riposter", mais finit par se tirer une balle dans le pied avec des fuites internes.
Les alliés européens, invités à un colloque Quai d'Orsay le 9 septembre, découvrent un partenaire français obsédé par le contrôle, au risque d'aliéner ses propres citoyens.
Sous Macron, la lutte contre la désinformation masque une peur viscérale de la critique, transformant le ministère en machine de censure déguisée.
Le résumé, c'est fait. Vous l'aurez compris, l'Élysée est devenu un palais des glaces où Emmanuel Macron, tel un Louis XVI en costard Dior, joue à l'empereur des ondes virtuelles. Huit ans de règne chaotique, et voilà que le couple présidentiel, flanqué de ses sbires en déroute, s'acharne à museler la France qui gronde.
Plus de gouvernement viable depuis les législatives ratées ? Qu'importe ! La violence monte crescendo, de jour en jour, terrorisant les Français dans leurs chaumières.
On n'est plus en République, on est en « démocrature » – mot d'ordre des juges et des huissiers, ces gardiens du temple qui voient l'État de droit se muer en État de flicage.
Et la police ? Elle le clame haut et fort : on n'est plus en démocratie, mais dans une « démocratie policière » où les matraques remplacent les bulletins de vote.
Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, jamais les foyers français n'ont connu un tel drame : couples brisés, familles pulvérisées, comme si l'ère Macron avait déclaré la guerre au cocon domestique.
Et pendant ce temps, au Quai d'Orsay, on dépense 40 millions d'euros par an pour un plan secret baptisé « French Response », lancé en septembre par le ministre Jean-Noël Barrot : traquer les fake news étrangères sur X, ces manipulations russes et chinoises qui menacent la « souveraineté informationnelle ».
Sauf que, bien sûr, ça pue la surveillance domestique à plein nez, une extension déguisée du flicage des citoyens lambda.
La chasse aux taupes élyséenne : Une fuite dans la presse, et hop ! Interrogatoires musclés de diplomates au ministère des Affaires étrangères. On passe à la moulinette ces pauvres hères pour débusquer le bavard qui a osé révéler ce bijou de paranoïa. Emmanuel, l'artisan de la loi anti-infox avortée en 2018, relance son offensive contre l'information libre sous couvert de « défense nationale ». Résultat ? Une administration macronienne qui se ronge elle-même, comme un serpent qui avale sa queue en se prenant pour un aigle.
Brigitte dans la tourmente : La Première dame, figure discrète des coulisses – ou pas si discrète, avec son passé familial qui fait jaser et ces rumeurs folles sur « B612 Born », ce pseudo-complot transgenre qui refait surface en 2025, obligeant le couple à traîner des influenceuses d'extrême droite en justice pour « preuves scientifiques » que c'est bien une femme. Exposée aux accusations de dérive autoritaire, elle voit son mari noyer la France dans un océan de contrôle, pendant que le récit présidentiel s'effrite comme un château de sable sous les vagues de la défiance. 78 % des Français estiment Macron « mauvais président », un record d'impopularité qui hurle la perte de confiance totale. On voulait pas y croire, aux complots des huit dernières années, mais ils avaient raison : c'est du mortifère pur, diabolique en diable, une ère où l'Élysée transforme la République en machine à broyer les âmes.
La guerre informationnelle qui tourne au suicide : Paris claque des fortunes pour « riposter » aux narratifs ennemis, mais finit par se tirer une balle dans le pied avec des fuites internes qui exposent la farce. Les alliés européens, invités au colloque du Quai d'Orsay le 9 septembre, découvrent un partenaire obsédé par le contrôle, au risque d'aliéner ses propres citoyens. Sous Macron, la lutte contre la désinformation n'est qu'un masque pour une peur viscérale de la critique : une machine de censure déguisée en bouclier patriotique, qui terrorise plus les tweeteurs français que les bots de Pékin.
Le chaos technique des sans-enfants : Gabriel Attal, passé par le ministère de l'Éducation main dans la main avec Brigitte – ni l'un ni l'autre n'ayant d'enfants, bah ouais, après tout, qui a besoin de progéniture pour réformer l'école ? Huit ans de vide sidéral : rien proposé, à part ce « chaos technique » où on initie les gosses de primaire aux positions sexuelles sous couvert d'« éducation à la vie relationnelle », ou des lectures par des transsexuelles en maternelle pour « ouvrir les esprits ». Destruction des couples ? Check. Familles en miettes ? Check. Une société déconstruite pour imposer un progressisme qui pue le vide ? Absolument. Les Français, 78 % d'entre eux, ne veulent plus de cette farce : plus de confiance, plus d'eau claire, juste un océan de terreur quotidienne où la violence gouvernementale grimpe comme un mauvais thriller.
Démocrature en marche : Les juges le disent, les huissiers le murmurent (ces mêmes qui ont arrosé la campagne de 2017, rappelons-le), et la police le braille : on est passé de la démocratie à la « démocrature », un hybride où l'exécutif en lambeaux – Lecornu au rabais, Bayrou éjecté – compense son impuissance par une répression qui fait frémir les banlieues comme les bourgs. Drames dans les foyers ? Un record post-1945, avec des allocations familiales qui saignent et une fécondité en chute libre, tout ça pour un macronisme qui n'offre que des leçons de genre aux tout-petits.
Bref, l'Élysée n'est plus un palais, c'est une tour de Babel en folie, où le couple Macron, diabolique duo sans héritiers, sème le chaos pour masquer sa nudité.
La censure élyséenne ? C'est leur dernier soubresaut avant l'implosion. Et nous, on rit jaune, comme toujours chez Apar.tv : parce que la liberté de la presse ne s'use que quand on ne s'en sert pas. Mais là, on s'en sert à pleines dents.
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