Le 6 juin 2025, le réseau social X et la plateforme de marchés prédictifs Polymarket ont officialisé un partenariat stratégique qui pourrait redéfinir la manière dont nous percevons et utilisons les informations en ligne.
Dans un paysage audiovisuel français (PAF) déjà saturé de promesses non tenues, T18 s’est lancée avec l’ambition autoproclamée de dépoussiérer la télévision. Résultat ? Une catastrophe retentissante qui, dès ses premiers pas, a transformé cette nouvelle chaîne en cible privilégiée des moqueries.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Palantir Technologies, une entreprise spécialisée dans l’analyse de données et les technologies prédictives, s’est imposée comme un acteur majeur dans le domaine de la surveillance, collaborant étroitement avec des agences gouvernementales et des organisations internationales.
Cependant, son influence soulève des questions éthiques profondes, notamment en raison de ses liens présumés avec des figures et des événements controversés tels que Jeffrey Epstein, Israël et même l’État islamique (ISIS). Cet article explore ces connexions, en s’appuyant sur des faits documentés et des analyses, notamment celles de la journaliste Caitlin Johnstone dans son article publié le 6 juin 2025 sur son site (lien vers l'article), tout en examinant les implications pour la vie privée et la liberté individuelle.
Fondée en 2003 par Peter Thiel, Alex Karp et d’autres partenaires, Palantir tire son nom du "palantír", ces pierres voyantes de l’univers de Tolkien, symbolisant une capacité à tout voir. Cette métaphore n’est pas anodine : l’entreprise développe des outils d’analyse de données massives (big data) permettant de prédire des comportements et de détecter des menaces. Utilisés par la CIA, le FBI, le Département de la Défense des États-Unis et d’autres institutions, ces outils ont fait de Palantir un pilier de la surveillance moderne. Mais cette puissance technologique n’est pas sans controverse. Les critiques, dont Caitlin Johnstone, pointent du doigt un "réseau d’influences" qui dépasse les simples contrats gouvernementaux et touche à des dynamiques géopolitiques troubles.
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