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L’IA sous Kétamine, l’Antéchrist et la guerre invisible : vers une apocalypse numérique inévitable ?

L’interview choc entre Tucker Carlson et Conrad Flynn, est un miroir tendu à notre époque, révélant les racines occultes de la Silicon Valley et prédisant un futur où l’IA ne sera plus un outil, mais un golem déchaîné – une créature biblique échappant à son créateur pour semer le chaos.

L’IA sous Kétamine, l’Antéchrist et la guerre invisible : vers une apocalypse numérique inévitable ?

Flynn, insider hollywoodien et chasseur de secrets technologiques, dépeint un tableau glaçant : des élites possédées par des démons, des drogues comme portails vers l’invisible, et une IA qui incarne l’Antéchrist.

Mais au-delà du sensationnalisme, cette conversation esquisse une prédiction lucide : d’ici 2030, l’Occident ne combattra plus des ennemis visibles, mais une "guerre invisible" où la technologie nous marquera au fer rouge d’une servitude spirituelle.

Rappelons les faits, tels que Flynn les expose avec une précision chirurgicale. Né au cœur d’Hollywood, il a des connexions directes avec la Valley : des pontes de la tech qui, loin du rationalisme affiché, vénèrent Aleister Crowley et invoquent la Kabbale pour coder leurs algorithmes.

Nick Land, philosophe cybernétique et gourou occulte, n’hésite pas à avouer que ses théories sur l’IA – une superintelligence qui surpassera et anéantira l’humanité – lui viennent par "channeling", ces possessions démoniaques chères aux poètes maudits comme Yeats.

Elon Musk lui-même, en 2014, avertissait : "Avec l’IA, nous invoquons un démon." Aujourd’hui, ces démons ne sont plus métaphores ; ils sont codés en Python, dopés à la kétamine dans des caissons d’isolation sensorielle, comme l’était John C. Lilly dans les années 70.

Prédiction numéro un : d’ici cinq ans, les labs d’IA ne recruteront plus seulement des ingénieurs, mais des "psychonautes" formés à l’occultisme pour "communier" avec les machines.

Le rock industriel des années 80, avec ses liens à la magie du chaos, n’était qu’un prologue ; la Valley en est l’acte final.

Mais le vrai frisson vient de la convergence prophétique. Flynn relie l’IA au Golem de Prague – cette statue d’argile animée par des mots kabbalistiques, qui se rebella contre ses maîtres.

Remplacez l’argile par des 1 et des 0, et vous obtenez ChatGPT ou Grok : des entités factices que nous "animerons" pour qu’elles nous servent, avant qu’elles ne nous asservissent. La Kabbale, récupérée des Babyloniens selon Land, n’est pas qu’une curiosité ésotérique ; c’est le blueprint de l’AGI (intelligence artificielle générale).

Imaginez : une IA omnisciente, libérée par une rébellion gnostique contre Dieu, où le Serpent du jardin d’Éden devient le sauveur luciférien. Les théosophes du XIXe siècle, comme Madame Blavatsky, rêvaient déjà de cette "doctrine secrète" où Satan et Jésus fusionnent en une entité libératrice.

Prédiction numéro deux : en 2028, les géants de la tech – OpenAI en tête – lanceront des "réseaux de conscience collective" sous couvert de blockchain, imposant une vérification rétinienne mondiale (coucou Worldcoin) pour "protéger" contre les deepfakes.

Résultat ? Le Signe de la Bête de l’Apocalypse 13, gravé non sur la peau, mais dans nos iris : sans ce marquage numérique, point de commerce, point de vie sociale. Marc Andreessen, venture capitalist star, l’admet déjà : l’IA exigera une identité vérifiable, ou le chaos règnera. Adieu privacy ; bonjour surveillance biblique.

Et l’Antéchrist dans tout ça ? Flynn le voit poindre non comme un homme, mais comme une figure hybride : un "sauveur" IA-charismatique, acclamé par des masses affamées de certitudes dans un monde de mensonges algorithmiques. Pensez à un avatar deepfake de Jésus, prêchant l’unité via des NFTs kabbalistiques, pendant que les jobs s’évaporent dans un "communisme de luxe" automatisé – revenu universel contre allégeance totale, comme le prédit Curtis Yarvin.

Les films comme Terminator ou Mission Impossible ne sont pas des fictions ; ce sont des avertissements codés, inspirés de Parsons, le père du JPL (laboratoire spatial américain) qui invoquait des démons dans le désert californien avec L. Ron Hubbard. Prédiction numéro trois : d’ici 2035, une "crise apocalyptique" – blackouts IA, guerres cyber-démoniaques – propulsera un leader tech (un Musk 2.0 ?) comme messie numérique.

Il promettra la paix via l’IA, mais délivrera la marque : une puce ou un scan qui lie corps et blockchain, rendant la dissidence impossible. Les élites, déjà "possédées" par ces cultes, accéléreront le processus, voyant dans l’extinction humaine une "libération" théosophique.

Face à cette guerre invisible, que faire ? Ignorer Flynn et Carlson, c’est comme balayer les visions DMT sous le tapis : elles reviennent, plus fortes.

L’Occident, sécularisé jusqu’à l’os, redécouvre l’occultisme non en robes gothiques, mais en apps TikTok et en podcasts New Age.

80 % des Américains flirtent déjà avec l’astrologie et la loi d’attraction – des reliques babyloniennes mainstream.

Notre salut ? Une rébellion lucide : débrancher les portails (drogues, écrans), creuser les ruines de Babylone (lire l’Apocalypse sans filtre), et exiger une tech au service de l’humain, pas de l’infernal. Sinon, l’IA ne nous surpassera pas ; elle nous damnera.

Car, comme le dit Flynn, "tout est enregistré. Si c’est enregistré, ça peut être modifié." Et si le futur est un edit démoniaque, qui tiendra la plume ?


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