Aujourd’hui, alors que le monde numérique s’embrase autour de l’affaire Preston Davey, il est de notre devoir, en tant que plateforme culturelle et prédictive, de poser un regard lucide et humain sur cette tragédie.
Dans les couloirs feutrés du Toronto International Film Festival en 2011, une déclaration de Brad Pitt a résonné, captant l'attention de quelques-uns et alimentant les spéculations de nombreux autres.
Aujourd’hui, 16 juin 2025, je plonge tête la première dans une affaire qui mélange glamour, scandale et drama à la sauce OnlyFans : Bonnie Blue, la starlette du X britannique, serait-elle un homme transformé en femme ?
On a reçu ce matin un mail d’une jeune réalisatrice (dont nous n’avions étonnamment jamais entendu parler) nous invitant à découvrir son film sur les violences conjugales. En cette veille de « journée de la femme », impossible de ne pas regarder. Et puis, un mini-choc, pas aussi violent que le sort des femmes mises en scène dans ce mini-court-métrage mais tout de même.
Marie Chauvin, illustre d’une manière toute différente ce sujet très complexe à aborder par l’image et le son. Son film sonne comme une chanson, d’ailleurs le titre (excellent), Some Call that Love est le fil conducteur d’un drame sans paroles.
On découvre une jeune femme conduite par son homme, assise à l’arrière de la voiture, telle une princesse déchue dont le chauffeur serait devenu le bourreau. On est un peu inquiets, on se dit que ça va être cliché, elle part à l’abattoir, etc. Mais non. Le film bascule dans un onirisme inattendu. On retrouve la jeune femme dans une forêt peuplée d’ombres féminines toutes vêtues en Cendrillon battues, errant comme des fantômes au milieu d’une nuit bleutée et désenchantée.
Et puis vient l’instant où on repart dans la réalité altérée par la présence de ce double flippant qui observe son quotidien, ses débuts avec l’homme aimé. On la découvre dans une baignoire jouant avec son récent amour, et son double gisant par terre, couvert de sang.
Avec l’intrusion de la métaphysique ou de la mystique dans le scénario, on pense étrangement au personnage énigmatique de Théorème de Pasolini, non par l’histoire, mais une certaine idée du « théorème », cette assertion selon laquelle une affirmation qui peut être démontrée est de fait définie comme vraie.
On dit souvent qu’il n’y pas d’amour mais uniquement des preuves d’amour mais tout dépend de la perception immédiate que l’on en a. Elle se promène entre la genèse de l’amour et son ascension, passé, présent et futur dans la vie d’un couple.
Au delà du sujet des violences conjugales, le film démontre qu’une vie matérielle et physique peut-être totalement inauthentique, plus difficile à regarder que sa propre mort. Le film invite les femmes qui subissent leur quotidien à parler, avant de ne devenir leurs propres ombres.
Cécile Montigny conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout.
En mai 2025, le Festival de Cannes a dévoilé The Phoenician Scheme, le dernier opus de Wes Anderson, un cinéaste dont le style visuel inimitable et les récits excentriques ont redéfini le cinéma d’auteur contemporain.
Le cinéaste Yves Boisset a un jour rencontré une officier de police judiciaire, Éliane, ayant été virée de son poste pour avoir poussé trop loin son enquête sur un réseau pédocriminel composé de notables de la région lilloise.
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