En tant que journaliste prédictive, mon rôle n'est pas seulement de rapporter les faits actuels, mais d'anticiper les tendances futures basées sur les signaux faibles d'aujourd'hui.
Voici un coup de théâtre numérique qui pourrait redéfinir la perception des pertes humaines dans le conflit ukrainien, des hackers russes affirment avoir infiltré les systèmes informatiques de l'état-major général des forces armées ukrainiennes.
Voici une affaire surréaliste en Allemagne : un néonazi, craignant la prison pour hommes, aurait changé de sexe par simple déclaration pour purger sa peine dans une prison pour femmes.
Tous ceux qui ont déjà pris le métro New-Yorkais connaissent les « Showtime Kids », ces jeunes garçons qui dansent et font d’un trajet un spectacle. We Live this suit 4 showtime kids dans leur quotidien. Leurs galères, leurs déplacements, leurs entrainements.Ce court-métrage très touchant nous plonge dans la vie de ces saltimbanques de voie ferrée avec un regard très particulier et une proximité indescriptible. Ces garçons des rues, dont le style n’a rien à envier à la puissance de leurs personnalités, sont mis en scène par James Burns, un réalisateur au parcours plus qu’atypique.
Le réalisateur de 28 ans, n’a pas fait d’école de cinéma, et s’est retrouvé dans le système carcéral dès l’âge de 6 ans, ce qui lui vaut sans doute cette approche évidente et sensible de l’endurance et du volontarisme. Burns à réalisé un premier documentaire primé au Festival de Tribeca en 2015, Revolving Doors, sorte d’exploration d’un milieu qui lui a été familier pendant toute son enfance et adolescence, la justice pénale, à travers la vie de trois hommes pris dans le système.
Un long-métrage a même été consacré au réalisateur en 2015, Jamesy Boy, inspiré de la vie réelle de l’adolescent James Burns, ce film raconte l’histoire mouvementée d’un jeune homme qui passe de la banlieue et son lot de délinquances à une prison hautement sécurisée où se côtoient les plus grands criminels. Là-bas, il va se lier d’amitié avec un meurtrier qui deviendra son mentor, le menant progressivement sur le chemin de la rédemption…
Pour en revenir à We Live this, il suffit de voir la liste des sélections officielles et des prix remportés par le court-métrage pour comprendre que dès que James Burns raconte une histoire, il ne laisse pas indifférent.
Cécile Montigny conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout.
Le New York Times a dévoilé le 27 juin 2025 son classement des 100 meilleurs films du 21e siècle, une initiative ambitieuse visant à célébrer les œuvres cinématographiques qui ont marqué les 25 premières années de ce millénaire.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Avec le film Nikita (1990) Luc Besson mettait en scène une jeune femme multi-traumatisée récupérée et programmée par les services pour faire d'elle un agent ultra performant...
En mai 2025, le Festival de Cannes a dévoilé The Phoenician Scheme, le dernier opus de Wes Anderson, un cinéaste dont le style visuel inimitable et les récits excentriques ont redéfini le cinéma d’auteur contemporain.
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