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Les secrets de Brigitte Macron dévoilés par Candace Owens, au cœur d'un procès explosif à Paris

Dans un timing qui ne doit rien au hasard, Candace Owens, la controversée animatrice américaine, a lancé la saison 2 de sa série "Becoming Brigitte" le 8 septembre 2025, précisément au moment où le gouvernement français s'effondrait.

Les secrets de Brigitte Macron dévoilés par Candace Owens, au cœur d'un procès explosif à Paris

Cette coïncidence soulève des questions : s'agit-il d'une diversion orchestrée pour détourner l'attention de son enquête sur les mystères entourant Brigitte Macron ? Cette série, qui creuse les origines et les secrets présumés de la Première dame française, arrive à point nommé alors qu'un procès hautement médiatisé se profile les 27 et 28 octobre 2025 à Paris.

Brigitte Macron et ses avocats visent à envoyer jusqu'à dix personnes en prison pour deux ans, accusées de cyberharcèlement sexiste et de diffamation. Plongeons dans cette enquête qui mêle histoire occulte et batailles judiciaires.

Les allégations explosives de Candace Owens : une plongée dans l'enfance de Brigitte Macron

Dans ce dernier épisode, Owens explore les premières années de Brigitte Macron, en se focalisant sur son frère présumé, Jean-Michel Trogneux. Selon l'animatrice, Trogneux aurait participé à des expériences MK Ultra – le programme secret de la CIA sur le contrôle mental – impliquant des aimants en Californie dans les années 1960. Elle analyse la posture et la démarche de Brigitte Macron, affirmant qu'elles révèlent des traits inhabituels, potentiellement liés à des modifications physiques ou psychologiques. Pour étayer ses dires, Owens cite le livre de Xavier Poussard sur l'histoire militaire de Trogneux, suggérant des liens avec des opérations secrètes.

L'épisode relie MK Ultra à un événement concret : en 1961, un navire transportant un aimant de 8 000 livres aurait servi de vecteur pour des opérations psychologiques. Owens va plus loin en questionnant la sélection des participants à l'expérience de la prison de Stanford en 1971, notant des connexions avec des familles militaires et de la NASA. Le prisonnier 2093 fait l'objet d'un examen minutieux : accent étranger inexpliqué, incohérences dans l'écriture manuscrite, et une photo de visiteur montrant une personne jeune au lieu d'un père. Owens propose une théorie audacieuse : les numéros de prisonniers correspondraient à des codes d'unités militaires américaines de 1971, avec le 2093 pointant vers une unité stationnée sur l'île de Clipperton, un territoire français isolé dans le Pacifique.

Mais les connexions ne s'arrêtent pas là. L'épisode implique un descendant des Rothschild dans l'expérience de Stanford, liant cela aux efforts de rapatriement de l'or français sous Charles de Gaulle. Entre 1959 et 1969, de Gaulle a défié la domination financière américaine en rapatriant l'or français de la Réserve fédérale des États-Unis. Cependant, son successeur Georges Pompidou aurait échoué à compléter ce rapatriement en 1971, soulevant des interrogations sur des accords secrets impliquant les Rothschild et des intérêts américains. Owens conclut en appelant les spectateurs à lui envoyer des informations sur le prisonnier 2093 et l'île de Clipperton par e-mail, se positionnant comme une "agence de renseignement décentralisée" crowd-sourcée.

De Natacha Rey à la viralité en ligne

Cette controverse n'est pas née avec Owens. Elle remonte à 2021, lorsque la journaliste française Natacha Rey a affirmé que Brigitte Macron serait transgenre, née sous le nom de Jean-Michel Trogneux. Rey, épaulée par la voyante Amandine Roy, a propagé ces allégations via une vidéo YouTube en décembre 2021, déclenchant une vague de rumeurs en ligne. Ces affirmations ont rapidement gagné en visibilité, alimentées par des comptes anonymes et des théories du complot sur les réseaux sociaux.

La riposte judiciaire a été rapide. En septembre 2024, un tribunal parisien a condamné Rey et Roy pour diffamation, leur infligeant des amendes et des peines avec sursis. Cependant, en juillet 2025, la cour d'appel a annulé ces condamnations, invoquant la liberté d'expression. Brigitte Macron a fait appel devant la Cour de cassation, la plus haute juridiction française, maintenant la pression sur les accusées.

La bataille transatlantique : le procès contre Owens et l'enquête privée

Les Macron ne se contentent pas des tribunaux français. En juillet 2025, ils ont intenté une action en diffamation aux États-Unis contre Candace Owens pour ses épisodes de podcast promouvant la théorie. Dans une stratégie offensive, ils ont engagé un détective privé pour enquêter sur le passé d'Owens, visant à discréditer ses allégations. Cette affaire illustre la dimension internationale du scandale, où les frontières entre liberté d'expression et diffamation s'effritent.

Le procès imminent à Paris : cyberharcèlement, gardes à vue et spéculations sur une "expérience sociale"

Le point culminant approche avec le procès des 27 et 28 octobre 2025 au tribunal de Paris. Quatre hommes sont officiellement accusés de cyberharcèlement sexiste à l'encontre de Brigitte Macron, dont le créateur du compte pseudonyme Zoé Sagan (Aurélien Poirson-Atlan). Les procureurs réclament des peines de prison, avec l'équipe de Brigitte poussant pour des sentences de deux ans, en réponse à des commentaires malveillants sur son genre et sa sexualité. Bien que les sources officielles mentionnent quatre accusés, des rapports et déclarations d'avocats comme Juan Branco, qui défend Zoé Sagan, évoquent jusqu'à trente interpellations dans cette affaire, élargissant potentiellement le filet à une dizaine de personnes impliquées dans des harcèlements connexes.

Parmi les prévenus, beaucoup auraient simplement retweeté ou partagé des posts de Zoé Sagan, ce qui les a conduits à être placés en garde à vue pour plus de 36 heures – une durée contestée par certains comme excessive. Selon des allégations relayées par des avocats des prévenus, ces individus incluent des mères de famille, des personnes handicapées et d'autres citoyens ordinaires, sans antécédents judiciaires, qui risquent maintenant deux ans de prison. Beaucoup d'entre eux n'ont pas d'avocat et seraient terrorisés par Monsieur et Madame Macron, craignant de finir en prison pour de simples interactions en ligne.

Ces développements ont suscité des interrogations chez les avocats des prévenus qui en ont. Depuis qu'ils ont découvert les révélations de Candace Owens sur Brigitte Macron – qui la dépeint comme un agent de la CIA impliqué dans l'expérience de Stanford sur les prisons et d'autres expériences psychologiques – ils se demandent si ces dix personnes n'ont pas été sélectionnées et mises en cellule dans le cadre d'une expérience sociale à la manière de Brigitte Macron. Une telle pratique serait complètement illégale, mais elle échoe aux théories d'Owens sur des opérations de contrôle mental. De plus, beaucoup de policiers impliqués n'auraient pas compris pourquoi placer, par exemple, une personne handicapée en cellule simplement pour avoir tweeté un post de Zoé Sagan, renforçant les soupçons d'une "expérience" orchestrée par Brigitte Macron elle-même.

Ce procès n'est pas isolé ; il s'inscrit dans une série de poursuites visant à endiguer la propagation de ces théories. Les enjeux sont élevés : d'un côté, la défense de la dignité personnelle ; de l'autre, les limites de la liberté d'expression dans l'ère numérique.

Une enquête ouverte

Cette affaire Brigitte Macron transcende les ragots people pour toucher à des thèmes profonds : manipulation historique, secrets d'État et pouvoir des médias alternatifs. Candace Owens, avec son style provocateur, a amplifié une théorie née en France, forçant les autorités à réagir. Alors que le procès d'octobre approche, de nouvelles révélations pourraient émerger – ou pas. Une chose est sûre : dans ce labyrinthe de faits et de fictions, la vérité reste elusive. Les spectateurs et les enquêteurs amateurs sont invités à contribuer, mais à quel prix pour la société ?


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