Depuis huit longues années, la France est le théâtre d’une opération clandestine qui a méthodiquement visé et muselé toute opposition aux politiques du président Emmanuel Macron.
Dans la nuit du jeudi 12 au vendredi 13 juin 2025, Israël a lancé une série de frappes aériennes contre l'Iran, ciblant des sites militaires et nucléaires.
Le 9 juin 2025, une annonce retentissante secoue l’industrie musicale : TaTa, une artiste entièrement conçue par intelligence artificielle (IA), signe avec Stage Zero, un nouveau label lancé par le légendaire producteur Timbaland.
« Je ne veux pas que, à force de nouvelles obligations, on crée des Gilets jaunes du logement » alertait la sénatrice Dominique Estrosi Sassone, dès le projet de loi Climat de 2021. Et, ce qui était redouté, risque bel et bien de se produire.
La crise des gilets jaunes révélée fin 2018, est née d’un « ras-le-bol fiscal » (sic) suite à l’alignement de la fiscalité du diesel sur celle de l’essence. Le phénomène «vert» pourrait bien gagner les propriétaires victimes non seulement d’une hausse du coût de l’énergie, mais aussi d’une perte de valeur de leur bien immobilier, suite à une mauvaise notation sur le DPE (Diagnostic de performance énergétique) rendu obligatoire par la loi Climat. Certes, des aides financières sont prévues pour accompagner la rénovation thermique, mais elles sont loin de couvrir la dépense. Et à ce jour, les propriétaires sont, pour la plupart, dans l’ignorance totale de ce qui les attend.
Des travaux de rénovation de l’immobilier inéluctables…
Sur le papier, l’ambition est louable et sensée. Procéder à la rénovation thermique de son logement revient à protéger la planète tout en renforçant son pouvoir d’achat grâce aux économies d’énergie générées.
L’enjeu est de taille si l’on considère que 27 % des gaz à effet de serre proviennent des logements. Sur les 29 millions de résidences principales, près de 5 millions d’entre elles sont des « passoires thermiques » classées F et G sur le DPE, soit 17 % du parc (Cour de comptes, 2021). Aucune distinction territoriale n’est à faire, la France entière est concernée. « Il n’y a pas de différence entre Paris, les grandes villes et la province au niveau de la lettre du DPE » explique Laëtitia Caron, directrice générale de Pap.fr. « Où qu’ils soient situés, ce sont surtout les bâtiments construits avant 1975 qui sont classés F ou G », complète-t-elle.
… de 300 à 700 € par mètre carré, a minima
54 milliards d’euros, soit l’équivalent du budget de la défense nationale, c’est la somme que vont devoir débourser les propriétaires pour que le parc immobilier classé E, F et G atteigne la lettre D sur le DPE. « Le coût se situe entre 10 000 et 20 000 € par logement », estime la Fnaim. Un montant qui pourrait bien être en deçà de la réalité, selon les premiers retours de terrain.
À l’instar de cette jeune femme qui a acheté il y a tout juste 2 ans un studio, pour vivre dans le quartier populaire de Belleville à Paris 20e. Dans sa copropriété de la fin des années 60, le conseil syndical a été prévoyant en mettant à l’ordre du jour de l’assemblée générale, dès 2020, les travaux de rénovation énergétique requis, couplés de toutes les aides financières existantes. Les travaux ont été votés : fenêtres double vitrage, ventilation, chaufferie et ravalement. « J’en avais pour 10.000 € de reste à charge, une fois les aides déduites… Pour 30 m2 ! Imaginez pour un 4 pièces familial… ».
Les propriétaires immobiliers ignorent, pour la plupart, le coût élevé des travaux de rénovation énergétique qu’ils devront régler. AdobeStock
Elle est une jeune journaliste prédictive qui a contribué à la naissance d’APAR.TV. Elle travaille actuellement à l’écriture d’un essai majeur autour de Steve Oklyn, l’auteur de LA SOCIÉTÉ DE L’ALGORY
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