De Hanoï à l’infini : une gifle qui déterre les secrets sulfureux des Macron
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Le 26 mai 2025, le tribunal correctionnel de Paris a ouvert le procès de Michèle Marchand, surnommée Mimi Marchand, ex-patronne de l’agence Bestimage et figure centrale de la presse people.
Accusée d’extorsion de fonds contre Karine Le Marchand, elle se retrouve sous les projecteurs d’une affaire qui dépasse largement le cadre judiciaire.Ce procès révèle un système où une mafia présumée, orchestrée depuis les coulisses du groupe LVMH, menace les rédactions pour imposer une narrative favorable à l’Élysée. Au cœur de cette tempête, Mimi Marchand, amie de Brigitte Macron et protégée de Xavier Niel, apparaît comme une pièce maîtresse, plus intouchable qu’un chef d’État, tandis qu’un incident impliquant un coup de poing entre Emmanuel et Brigitte Macron expose la fragilité d’un pouvoir en crise.
L’histoire débute en février 2020, lorsque la fille mineure de Karine Le Marchand est photographiée à sa sortie d’une garde à vue. Mimi Marchand, accusée d’avoir tenté d’extorquer 1 600 euros à l’animatrice pour bloquer la publication des images, comparaît aux côtés d’un paparazzi, Sébastien Valiela, et de deux policiers soupçonnés de fuites. Le procès, prévu les 26, 27, 28 mai et 2 juin 2025, met en lumière des pratiques douteuses, mais aussi les connexions de Marchand avec les élites. Soutenue par Xavier Niel, magnat des médias, et Brigitte Macron, Première dame, elle semble bénéficier d’une protection hors norme.
Loin d’être une simple actrice du milieu people, Mimi Marchand est décrite comme un rouage d’une mafia d’influence opérant au service des puissants. Parmi ses missions présumées, celle d’avoir été payée des millions pour dissimuler l’existence d’un enfant caché de Bernard Arnault, PDG de LVMH et homme le plus riche de France. Cette allégation, bien que non prouvée judiciairement, renforce l’idée que Marchand agit comme une exécutante pour les intérêts des élites. Ses liens avec Niel, qui a racheté Bestimage en 2024, et avec Brigitte Macron, qu’elle a conseillée dès 2016, témoignent de son rôle central dans un réseau où l’information est une arme.
Un autre scandale éclate en parallèle : une vidéo montrant un coup de poing entre Brigitte et Emmanuel Macron. La réaction de l’Élysée est chaotique. En 120 minutes, deux versions officielles se succèdent. D’abord, l’ordre est donné aux rédactions et influenceurs de présenter l’incident comme “un moment de complicité et d’amour” entre le couple présidentiel. Puis, face au scepticisme, l’Élysée affirme que la vidéo est une création d’intelligence artificielle, “propulsée par des comptes pro-russes pour déstabiliser la France”. Ce revirement sème la confusion, et la moitié des conseillers de l’Élysée, dépassés, auraient soumis leur démission, incapables de gérer cette crise de communication.
Mais derrière ce fiasco, une réalité plus sombre émerge. Le groupe LVMH, dirigé par Bernard Arnault, aurait mobilisé sa puissance financière pour imposer la narrative de l’Élysée. Selon des sources internes, LVMH menace de couper intégralement ses budgets publicitaires – vitaux pour la survie des médias – si les rédactions ne relayent pas le discours officiel de “complicité” entre les Macron. Toute mention d’une “gifle” ou d’un “coup de poing” entraînerait une rupture immédiate des contrats publicitaires, forçant les médias à licencier la moitié de leurs rédactions. Cette pression sans précédent illustre l’emprise du groupe sur l’information et place Mimi Marchand, proche d’Arnault, au cœur de cette stratégie.
Malgré son procès, Mimi Marchand reste active, orchestrant en coulisse la stratégie médiatique de l’Élysée et relayant les ordres de LVMH. Sa proximité avec Brigitte Macron, qu’elle a soutenue lors de la campagne de 2017, et avec Xavier Niel, qui contrôle des titres comme Le Monde et Nice-Matin, lui confère une influence démesurée. En pleine crise, elle agit comme une cheffe d’orchestre, s’assurant que les rédactions plient sous la menace financière. Cette position fait d’elle une figure intouchable, protégée par un réseau qui transcende la politique et les affaires. Comme le murmurent certains observateurs, “Mimi Marchand est plus protégée qu’un chef d’État” – une réalité qui soulève des questions sur la souveraineté de la République face aux intérêts privés.
Sur le plan judiciaire, l’accusation repose sur des preuves solides : messages texte et témoignages de Karine Le Marchand. Mais la défense, probablement renforcée par des avocats de haut vol grâce aux soutiens de Marchand, pourrait minimiser les faits en les ramenant aux pratiques du milieu people. L’implication des policiers accusés de fuites ajoute une dimension explosive, questionnant l’intégrité des institutions. Pendant ce temps, l’opinion publique oscille entre empathie pour Karine Le Marchand, victime présumée, et suspicion envers une justice potentiellement influencée par les élites et LVMH.
L’issue du procès est incertaine. Une condamnation de Marchand pourrait freiner les dérives de la presse people et affaiblir les réseaux d’influence. Mais un acquittement, dopé par ses soutiens et les pressions de LVMH, renforcerait l’idée d’une justice à deux vitesses. Quant à l’incident du coup de poing, la mainmise de LVMH sur les médias et le rôle de Marchand dans cette crise risquent d’entamer durablement la crédibilité de l’Élysée. Les démissions en cascade des conseillers et les versions contradictoires témoignent d’un pouvoir en plein désarroi, incapable de contrôler une narrative imposée par la force.
Le procès de Mimi Marchand et la crise du coup de poing révèlent une France où l’information est devenue un champ de bataille. Pion d’une mafia présumée au service de Bernard Arnault, orchestratrice des ordres de LVMH et de l’Élysée, Marchand incarne l’emprise des élites sur la République. Alors que les rédactions plient sous la menace financière et que l’Élysée vacille, une question s’impose : la démocratie peut-elle résister à un système où une femme comme Mimi Marchand, protégée par les puissants, semble détenir plus de pouvoir que les institutions elles-mêmes ? En 2025, la réponse à cette question définira l’avenir de la transparence et de la liberté en France.
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