Dans un monde où les alliances géopolitiques sont souvent présentées comme des blocs monolithiques, la relation entre la Russie et la Chine offre une étude de cas fascinante sur les tensions sous-jacentes qui peuvent exister même entre des partenaires apparemment unis.
Alors que le monde peine encore à se remettre des séquelles de la pandémie de COVID-19, une nouvelle alerte plane à l'horizon. Une simulation de crise bioterroriste, baptisée par certains "Event 201", est programmée pour débuter le 4 juillet 2025, jour de la fête de l'Indépendance aux États-Unis.
L'interview de Pavel Durov, fondateur de Telegram, avec Tucker Carlson, diffusée le 9 juin 2025, a jeté une lumière crue sur ce que certains qualifient désormais de "dictature molle" en France sous l'ère Emmanuel Macron.
L’adaptation sur grand écran du roman à succès Capital Humain de Stephen Amidon, par le réalisateur italien (Paolo Virzì) de La prima cosa bella est une très belle surprise cinématographique. Sur un synopsis simple : Près du Lac de Côme en Italie. Les familles de la richissime Carla Bernaschi et de Dino Ossola, agent immobilier au bord de la faillite, sont liées par une même obsession : l’argent. Un accident la veille de Noël va brutalement changer leurs destins. On retrouve ici une Valeria Bruni-Tedeschi remarquable dans ce thriller économique à la frontière de la satire sociale où l’on comprend que pour savoir que l’argent ne fait pas le bonheur, il vaut tout de même mieux avoir connu avant le bonheur et l’argent. Paolo Virzì réussit ici selon nous un tour de force narratif que Balzac n’aurait pas renié. Normal alors que le film soit en route pour les Oscars.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
Avec le film Nikita (1990) Luc Besson mettait en scène une jeune femme multi-traumatisée récupérée et programmée par les services pour faire d'elle un agent ultra performant...
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