La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
L’autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP) a reçu plusieurs plaintes de particuliers (oui, oui, des gens comme vous et nous, qui prennent le temps de trouver un numéro de téléphone, d’appeler et de se plaindre) contre les affiches du film Les Infidèles. Et dans une diplomatie d’un rare courage, l’ARPP déclare : «Nous avons reçu quatre plaintes pour l’instant, mais même sans ces demandes, nous serions intervenus. Il y a une représentation sexuelle explicite à la vue de tous, et ce n’est pas acceptable. Les images portent en plus atteinte à la dignité de la femme… » Une affaire qui rappelle, entre autre, celle qui a touché les affiche de l’album J’accuse de Damien Saez.
Puisque il existe des gens qui pensent l’être humain incapable d’ironie, de second degré, de jugement pondéré, bref d’intelligence. Des gens qui veulent retirer ces affiches, mais ne disent rien contre les clips de chanteuses au deux tiers nues, aux danses suggestives et aux paroles sans ambiguïté. Des gens qui pensent que le détournement du sexe est plus obscène que l’affichage de débilité télévisuelle de nos élites de la télé-réalité. Bref, pour tout ces gens, nous vous invitons à partager cet article ou simplement les photos des affiches sur les réseaux sociaux d’abord en signe de contestation (mais attention, puisque L’Origine du Monde, elle-même est censurée par Facebook), ensuite parce que, comme le dit l’équipe du film, « les affiches seront bientôt cultes. » Après les affiches d’Amen de Costa Gavras, par exemple, on le sait désormais, il y a deux choses auxquels on ne peut pas toucher : Dieu et le sexe. Dommage, le premier ne craint rien et le deuxième ne demande que ça. Messieurs les censeurs, le Marquis de Sade continue de vendre et vous remercie pour la publicité gratuite.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.