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Les horreurs de P. Diddy – Un silence assourdissant à Paris, Cannes et Saint-Tropez, à l’image de l’affaire Epstein

Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.

Les horreurs de P. Diddy – Un silence assourdissant à Paris, Cannes et Saint-Tropez, à l’image de l’affaire Epstein

Les témoignages de ses victimes – Casandra "Cassie" Ventura, Kid Cudi, et tant d’autres – dépeignent un monstre qui a brisé des vies avec une cruauté inouïe. Mais ce qui est plus révoltant encore, c’est le silence glacial qui règne en France, à Paris, Cannes et Saint-Tropez, où Diddy a également sévi. Ce mutisme rappelle de manière glaçante l’affaire Epstein : en France, personne ne parle, pas même la police ou les magistrats, pour protéger la raison d’État et des hommes politiques influents. Les victimes, elles, vivent dans la peur de mourir si elles osent briser ce mur de silence.

Les horreurs infligées aux victimes : un cauchemar sans fin

Le procès, débuté le 5 mai 2025, met en lumière des actes d’une barbarie inqualifiable. Cassie Ventura, ancienne compagne de Diddy, a livré un témoignage qui donne la chair de poule. Pendant 11 ans, elle a enduré des violences physiques et psychologiques, forcée de participer à des "freak-offs" – des marathons sexuels où elle devait, sous la contrainte, s’offrir à des prostitués masculins, souvent droguée et humiliée publiquement. Une vidéo de surveillance, diffusée dès le premier jour du procès, montre Diddy la rouant de coups à l’hôtel Intercontinental de Los Angeles en 2016 – un acte qui n’est pas isolé, mais s’inscrit dans un schéma systématique. Les procureurs ont révélé que Diddy exigeait des quantités industrielles d’huile pour bébé pour ces soirées sordides, où certaines victimes, épuisées, devaient être réhydratées par perfusion pour survivre.

Kid Cudi, lui, a vu sa vie basculer après une liaison avec Cassie. En 2011, Diddy aurait fait irruption chez lui, déballant ses cadeaux de Noël et enfermant son chien, avant de faire brûler sa Porsche avec un cocktail Molotov – un acte que Cassie avait prédit à cause des menaces de Diddy. Les photos de la voiture calcinée, présentées au jury, sont une preuve accablante de cette vengeance. Regina Ventura, la mère de Cassie, raconte comment Diddy a extorqué 20 000 dollars à sa famille sous la menace de diffuser des vidéos compromettantes, argent qui lui a été mystérieusement rendu pour acheter son silence.

Les raids sur les propriétés de Diddy à Miami et Los Angeles ont mis au jour un arsenal de perversion : armes illégales, drogues comme le GHB et l’ecstasy, et des centaines de flacons d’huile intime. Les procureurs parlent d’un "pattern d’organisation de soirées sexuelles coercitives", un véritable réseau de trafic sexuel orchestré par un homme qui se croyait intouchable.

En France, un silence terrifiant, à l’image de l’affaire Epstein

Ce qui révolte autant que ces horreurs, c’est ce qui se passe – ou plutôt, ce qui ne se passe pas – en France. Dès 1998, à Saint-Tropez, Diddy s’appropriait les célèbres "soirées blanches" d’Eddie Barclay, transformant ces événements en bacchanales où stars et puissants se mêlaient dans un climat de débauche et de peur. À Paris, Cannes, et Saint-Tropez, des victimes présumées existent, mais elles se taisent. Pourquoi ? Parce que Diddy leur a fait comprendre qu’il pouvait "les faire disparaître". Comme le rapporte Apar.tv, une victime a entendu ces mots glaçants : "Je peux te faire disparaître et ton papa ne te retrouvera jamais." Pendant plus de 30 ans, cette menace a acheté le silence de celles qu’il a brisées.

Mais ce silence ne vient pas seulement des victimes. Il est imposé, orchestré, à l’image de ce qui s’est passé avec l’affaire Epstein en France. Comme pour Jeffrey Epstein, dont le réseau pédocriminel impliquait des personnalités influentes – des politiciens, des hommes d’affaires, et même des membres de la jet-set française –, les agissements de Diddy à Paris, Cannes et Saint-Tropez sont tus pour protéger la raison d’État. Les victimes françaises, qui pourraient faire "basculer le monde culturel français" selon Apar.tv, savent que parler, c’est risquer leur vie. À Saint-Tropez, une jeune femme raconte avoir été forcée, lors d’une soirée, de s’allonger sur une table, des fruits disposés sur son corps, pendant qu’une autre était contrainte de saisir un fruit posé sur son téton avec la bouche – une mise en scène humiliante orchestrée par Diddy. Ces scènes, dignes d’un cauchemar, se sont déroulées sous nos yeux, dans des lieux emblématiques de la jet-set française, et pourtant, personne n’a rien dit.

Pire encore, la police et les magistrats, qui devraient être les premiers à enquêter, se murent dans le silence. Comme dans l’affaire Epstein, où des enquêtes françaises ont été étouffées malgré des signalements – comme celui de Maria Farmer en 1996 ou les investigations ouvertes à Paris en 2019 –, les autorités françaises semblent paralysées. Pourquoi ? Parce que des hommes politiques très influents, des figures du show-business et des puissants qui fréquentaient ces soirées blanches de Diddy à Saint-Tropez, risquent d’être éclaboussés. Parler, c’est menacer des intérêts qui dépassent de loin la justice pour les victimes. Ce silence institutionnel, imposé pour protéger la raison d’État, est une trahison envers celles et ceux que Diddy a brisés.

Une industrie complice et une société muette

Ce mutisme n’est pas seulement celui des victimes ou des autorités, mais aussi celui d’une industrie et d’une société complices. À Cannes, où le Festival attire les stars du monde entier, et à Paris, capitale de la mode et du glamour, Diddy était une figure intouchable, entourée de puissants qui craignent aujourd’hui d’être associés au scandale. Combien de jeunes femmes ont été brisées dans l’ombre des palaces de Saint-Tropez ou des soirées parisiennes, sans jamais oser parler, de peur de ne plus jamais être retrouvées ? Ce silence est une honte collective, un écho de l’omerta qui a entouré l’affaire Epstein, où des victimes françaises ont attendu des années avant que des enquêtes sérieuses ne soient ouvertes – et encore, avec des résultats limités.

Un procès qui doit tout changer

Aux États-Unis, le procès de Diddy pourrait lui valoir la perpétuité. Plus de 120 plaintes civiles ont été déposées contre lui, certaines impliquant des mineurs. Des marques ont coupé les ponts, Netflix prépare une série documentaire, et des figures comme 50 Cent et Usher ont été éclaboussées par l’affaire. Mais en France, où est la colère ? Où est la solidarité avec ces victimes ? Ce procès doit être un électrochoc, non seulement outre-Atlantique, mais aussi ici, dans ces villes françaises où Diddy a semé la terreur. Il doit briser le silence, comme il aurait dû l’être pour les victimes d’Epstein.

L’avocate Ariel Mitchell-Kidd appelle les victimes françaises à parler : "J’invite toutes les personnes qui ont pu subir des agressions sexuelles de la part de M. Combs et de ses complices à Paris, Cannes ou Saint-Tropez, à se rapprocher des autorités françaises." Mais comment le pourraient-elles, quand la police et les magistrats eux-mêmes se taisent pour protéger des intérêts politiques ? Il est temps que la France affronte cette vérité, aussi inconfortable soit-elle. Les victimes de Diddy, comme celles d’Epstein, méritent justice. Ce procès n’est pas seulement celui d’un homme – c’est celui d’un système qui a laissé un prédateur prospérer, et d’une société qui doit maintenant choisir : continuer à se taire, ou rendre justice à celles qu’il a brisées.

Sources

  • Témoignages et preuves tirés du fil X de @Zaynqc (mai 2025).
  • Apar.tv, "Les victimes de P. Diddy à Paris, Cannes et Saint-Tropez vont faire basculer le monde culturel français" (5 novembre 2024).
  • The New York Times, "At Sean Combs Trial, Details of a Raid That Found Guns and Drugs" (21 mai 2025).
  • Billboard, "Diddy Trial: 6 Big Moments So Far: Freak-Offs, Suge Knight, Kid Cudi" (2025).
  • Wikipédia, "Affaire Epstein" (6 avril 2025).

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