La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Internet est une place publique, un lieu collectif de rencontres, de prises de parole et de création. Après le Palais Garnier en 1875 et l’Opéra Bastille en 1989, c’est sur ces terres-là, celles du digital, que l’Opéra national de Paris a décidé de bâtir sa 3e Scène. Dans ce nouvel espace, l’Opéra national de Paris veut poursuivre le dialogue avec son public et trouver de nouveaux interlocuteurs. Les spectateurs de la 3e Scène habitent l’ensemble du globe, parlent toutes les langues, aiment l’art sous toutes ses formes. A partir d’aujourd’hui, la 3e Scène s’ouvre en grand aux plasticiens, cinéastes, compositeurs, photographes, chorégraphes, écrivains, et les invite à venir créer des œuvres originales liées à l’Opéra national de Paris. Ce lien entre l’Opéra et les œuvres réalisées peut être franc, solide, subliminal, étiré, allongé, voire distendu. Mais nous souhaitons avant toute autre chose que les artistes s’emparent de l’Opéra, puisent dans ses ressources, parcourent ses murs, rencontrent ses talents, pour en faire découvrir les lieux, les couleurs, l’histoire, les questions et les personnes à travers la création. Cette 3e Scène n’a pas d’égal ni de modèle. Elle se lance librement et généreusement pour proposer un lieu où tradition, création et nouvelle technologie sont, une fois mariés, synonymes de modernité.
Félicitation donc à Benjamin Millepied et Dimitri Chamblas pour cette carte blanche historique et cette incroyable union de créateurs tous plus talentueux les uns que les autres. Pour une fois, le résultat est à la hauteur de nos attentes : à la fois, créatif, intelligent et BEAU. On retrouve les meilleures réalisateurs et réalisatrices (rare) de notre génération : Alex Prager, Jacob Sutton, Loren Denis, Matthieu Amalric, Carine Brancowitz, Rebecca Zlotowski, Julien Prévieux et tant d’autres à découvrir ici et maintenant.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.